09-11-2012 22:42 - Un 'repris de justice' nous parle d'Aziz via son contact au ministère français de la défense...
Celle-là c’est bien la meilleure… Comment un "repris de justice" présumé qui fut écroué en France pour délit d’initié dans les années 2000 peut-il encore avoir des contacts avec le ministère de la défense français et oser écrire sans anonymat pour nous rassurer à propos du chef de l’état ? C’est bien ce qui vient de se passer sur Cridem.
Ce fameux Yahya Ould Amar fait partie apparemment de nos génies de la finance mais il n’aurait jamais dû quitter le pays, cela lui aurait évité la case prison en France en compagnie d’une certaine Nathalie Law Ye.
En effet chez nous ceux qui trafiquaient les chiffres pour berner le FMI n’ont pas connu le même sort, ils prospèrent peinards. D’autres qui ont déclaré 4 milliards de patrimoine après les élections en 2007 ont même fini par trouver un poste au FMI comme le ruisseau retourne à la rivière…
Quant à notre ami Yahya Ould Amar écoutons la presse française au sujet de l’affaire qui l’envoya au trou : Juste un lien le reste est sur le net :
« L’argent du délit d’initiés investi en Mauritanie…
http://www.leparisien.fr/faits-divers/l-argent-du-delit-d-initie-investi-en-mauritanie-31-03-2001-2002068898.php
LA JUSTICE semble marquer des points dans l'enquête sur le délit d'initié découvert au sein même de la Commission des opérations de Bourse en juin 2000. Hier, l'ancien responsable de l'inspection et de la surveillance des marchés, Ould Amar Yahya, principal suspect dans cette affaire, a été confronté à Nathalie Law Ye, ex-employée au service informatique. Interrogée par la juge Valérie Salmeron, elle a reconnu avoir passé de la COB, à partir de son ordinateur et de celui de Yahya, des ordres d'achats sur deux titres :
Hachette Filipacchi Médias (HFM) et Quilvest SA. Le tout après avoir bénéficié d'informations privilégiées.
Un point important, dans la mesure où Ould Amar Yahya, Nathalie Law Ye (toujours incarcérés) et son frère François Law Ye, ont toujours nié les faits qui leur sont reprochés. Tous trois sont mis en examen pour délit d'initié et recel de délit d'initié. Par ailleurs, les policiers de la brigade financière ont comparé les appels émis par les téléphones portables de ces trois personnes et les connexions Internet établies à partir de leur domicile. Ils en concluent qu'un certain nombre d'achats et de ventes d'actions ont été passés de l'appartement de Yahya.
Une société de pêche. Reste maintenant à retrouver la destination finale des gains réalisés à partir de ces délits d'initiés. La magistrate Valérie Salmeron explore une piste mauritanienne et s'intéresse de très près à une personne encore non identifiée : Mana Mint Amar. Selon l'état des investigations, cette dame serait salariée dans une banque mauritanienne à Nouakchott. Elle aurait reçu environ 600 000 F. Elle apparaît également comme actionnaire d'une société de pêche, Afrasie, dans laquelle elle a pour associé François Law Ye. C'est ce qui explique qu'une commission rogatoire internationale ait été lancée, pour permettre le prolongement de l'enquête en Mauritanie.
Magistrat et policiers se demandent en outre si le délit d'initié n'excède pas largement les deux opérations découvertes à ce jour. Ils ont constaté que Ould Amar Yahya a effectué les ventes et les achats sur HFM à une époque où il avait un besoin rapide d'argent, d'où une certaine précipitation qui a pu laisser des traces, visibles, dans les mémoires informatiques. La perquisition effectuée dans les locaux de la COB a montré que les disques durs des ordinateurs de Yahya et Law Ye ont semble-t-il été « nettoyés » pour la période antérieure à juin 2000. »
Rebondissement dans le scandale de la CON ( 20-12-2000 )
http://www.leparisien.fr/faits-divers/rebondissement-dans-le-scandale-de-la-cob-20-12-2000-2001838807.php
La suite de l’affaire : « Enfin, Ould Amar Yahya a déposé une demande de mise en liberté qui a été rejetée vendredi par la chambre d'accusation de la cour d'appel de Paris… »
Que s’est-il passé ensuite ? Impossible de trouver trace de rien sur le net. Rien ne permet de dire que Yahya Ould Amar n’ait pas été relaxé, blanchi ou amnistié. Qui peut nous en dire plus ?
L’article sur Cridem : « le retour du président »
http://www.cridem.org/C_Info.php?article=636172
Publié par Vlane.A.O.S.A