22-05-2017 13:20 - Meurtre de Riyadh par un bissau-guinéen : la chronologie des faits

Meurtre de Riyadh par un bissau-guinéen : la chronologie des faits

Tawary - La famille de Mohamed Ould Baba, professeur de son état et ancien maire de la commune de Keur-Macène avait hébergé en 2004 à Riyad, le bissau-guinéen Bacar Hassen (22 ans environ) lorsque celui-ci fut abandonné par une famille de Keur-Macène pour laquelle, il travaillait dans un champ.

A un certain moment, la famille l’engage comme domestique et percevait son salaire régulièrement.

Mais comme son comportement allait à l’encontre des valeurs islamiques, la famille décide de rompre contrat avec lui. Malgré cela, l’ancien domestique continue à fréquenter la famille qui l’employait.

Le jeudi 18 mai, Minetou Mint Mohameden Bih, la mère de la famille se rend au village pour des raisons familiales et laisse les enfants comme d’habitude à la maison. Le lendemain, à 7 heures 30, Mohamed Ould Baba demande aux deux enfants de se préparer pour aller à l’école.

Ahmed Salem Ould Mohameden (10 ans) qui souffre d’une fièvre reste couché dans sa moustiquaire. Son jeune frère (6ans) ne pourra pas se rendre seul à l’école. Ce dernier, après avoir pris son petit déjeuner, s’installe avec ses jouets à côté de sa vieille grand-mère (89 ans).

A 10 heures, Bacar Hassen, armé d’un poignard et d’une corde s’infiltre dans la maison et se dirige dans la chambre, où, dormait le petit Ahmed Salem. Sous le regard du jeune frère, Bacar noue la corde au cou d’Ahmed Salem et l’égorge de sang froid.

Pris de peur, le petit frère d’Ahmed Salem sort en courant avertir le boutiquier. Entretemps, l’assassin sort l’arme à la main. Il sera neutralisé par le commerçant et quelques voisins avant d’être arrêté par des éléments du commissariat 2 de Riyad où il est entendu par les services de la police judiciaire.

Averti, le père du petit Ahmed Salem se présente au commissariat et confirme que le domestique travaillait chez lui et percevait régulièrement son salaire. Après les enquêtes, l’assassin Bacar Hassan âgé de 22 ans est transféré à la brigade des mineurs qui se trouve dans le quartier Carrefour-Madrid à Arafat.

Par Aboubecrine SIDI



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Commentaires (8)

  • a.bennan (H) 24/05/2017 01:15 X

    Il est vraiment très dommage que le père ne l'a pas intercepté avant les flics afin de l'écorce dans une poubelle...en plus Bissao est un pays mécréant et catholique wé tffouuuu

  • mystere1 (F) 23/05/2017 09:59 X

    c'est vrai qu'on s'est précipité sur les jugements de ce crime?, mais une chose qui m'étonne, lorsque ce jeune homme égorgeait ce enfant ahmed, pourquoi n'a t-il pas exécuté de la même manière ou tué d'une autre manière l'autre petit frère de la victime, qui était bien présent et principal témoin, ce guinéen aurait bien pû tuer ce dernier en même temps que son frère ?, bizarre quelle dent a t-il contre l'ainée, malade au lit, il y'a une raison en son attitude, en plus s'il voulait fuir, sans que le voisin boutiquier ne l'attrape, il allait le faire facilement, ce n'est pas un petit de 6 ans témoin des faits qui lui en empechera, car éliminer les deux enfants, c'est comme de l'eau à boire pour lui, c'est ce détail qui surtout a attiré mon attention sur ce drame familial, tuer l'un et laisser l'autre vivant ?

  • Renard (F) 23/05/2017 09:25 X

    Certaines invraisemblances dans la publication ci dessus... Ce guinéen avait 22 ans à l'époque ou maintenant? D'après le précédent article il travaillait depuis 15 ans dans la maison... Travaillait il encore ou pas? Article bâclé!

  • hachmi (H) 23/05/2017 00:23 X

    Le raciste Bertrand voit du racisme par tout. Tu dois avoir une terrible vie a cause de cette persécution permanente, fait toi aider par le dr Sall Ousmane.

  • hachmi (H) 23/05/2017 00:19 X

    Quel drame mes sincères condoléances la famille éplorée

  • Belphegor (H) 22/05/2017 22:04 X

    @Bertrand Si vous parcourez l'article précédent qui parle de cet affaire vous verrez plusieurs "indignés" qui essayent tant bien que mal de trouver des circonstances atténuantes à l'auteur du meurtre en insinuant d'emblée qu'il aurait commis cet acte abominable parce que victime "d'injustices" de ses patrons tout en essayant maladroitement de se faire passer pour des observateurs neutres...Il est noir et étranger donc je ne saurais pas étonné de voir d'autres essayer d'en faire un martyr

  • Bertrand (H) 22/05/2017 14:23 X

    Il ya un meuyrtrier de sang froid, par devant témoin. Il n'y a pas de maillpon faible. ne laissons pas le racisme meurtirer nous aveugler. Il a un homme qu'une famille prise de pitié à hébergé et aider dans la vie. Il les récompense en égrageant de sang froid leur enfant. ceux qui témoigne une quelmconque sympathie au meurtirer et essaie de le disculper fusse-t-il elur frère n'en différent pas beaucoup. Que leur motivation soient dictée par un racisme primaire et le sentiment d'insuffisance et d'incomplétude.

  • mdmdlemine (H) 22/05/2017 13:39 X

    C'est bien, cet éclaraige, mais il faut trouver la pièce manquante pour rendre le crime compréhensible à 50% au moins. Le criminel a-t-il agi sous lemrpise de la drogue ou par pplaisr de tuer alors qu'il n'est cité comme mutlirecidiviste Le guinéen est le maillon faible de cette histoire, car personne ne prendra sa défense, non seulement parce qu'il a tué de manière horrible, mais du fait, que c'est expatrié qui ne peut avoir ses droits dans un pays où les citoyens sont même spoliés Seul Allah sait la vérité qui peut surgir un jour pour lever le mystère sur ce crime