la méfiance inter-communautaire est aujourd’hui à un niveau qui frôle la déflagration, malheureusement. ceci est du principalement à la mauvaise gouvernance sociale, qui s'est amplifiée ces dernières avec l'épineuse question Biaram et les hratines, en tout cas le dossier est brûlant et celui qui aura la future destinée du pays se verra léguée une problématique lourde, difficilement gérable.pourtant on aurait du avoir des relations inter communautaires fraternelles n’eurent ces répressions récurrentes, ces propos incitateurs à la haine suprématistes, et ces traitements humiliants des hommes. nous sommes responsables par nos actes de tout ce qui adviendra demain. Félix Houphouët-Boigny la valeurs de la paix ne se sente que le jour où la perde, faisons de telle sorte de la préserver.

FREE Biram c'est fini les élections

@Steve Biko a rappelé : « …..c’est Aziz qui avait lors du vote au bureau des domaines dit devant la presse que les extrémistes n’ont pas de place à l’Assemblée Nationale,…. ». Il s’agit d’une déclaration électoraliste qui correspond à son opinion. Elle visait principalement, les candidats Tewassoul, AJD/MR et SAWAB. La décision qui appartient aux électeurs et qui est sortie des urnes, n’a pas exaucé ses vœux en accordant 13 Députés à Tewassoul, aucun à AJD/MR et 3 à SAWAB dont Biram Dah Abeid. Ceci dit, il faut rappeler que Biram Dah Ould Abeid est a été arrêté dans le cadre d’une information judiciaire antérieure au processus électoral. Pour la poursuite de la procédure engagée contre lui, la juridiction compétente doit, s’assurer de la levée de l’immunité parlementaire que lui confère son élection.

C’est quoi ces déclarations d’Aziz sur le cas Biram, mais messieurs rappelez-vous, c’est Aziz qui avait lors du vote au bureau des domaines dit devant la presse que les extrémistes n’ont pas de place à l’Assemblée Nationale, Aziz venait donc de verser de l’essence sur Biram, il ne rester que celui qui va amener les allumettes pour mettre le feu sur le corps de Biram et c’est le journaliste qui est envoyer pour faire le sale boulot à piéger Biram, ce qu’il ne réussit pas, heureusement pour IRA, parce qu’il ne savait pas que Biram est un habitué des services de renseignements qui ont cherché par tous les moyens de le mettre en difficultés, mais sans suite, le journaliste ne trouvera jamais de faille tangible chez Biram pour allumer le feu. Donc si Aziz se permet aujourd’hui de dire que le problème de Biram est un problème de justice, il oublie seulement que hier, les lobbies esclavagistes ont fait une forte pression sur le juge pour que le dossier soit transmis à la cour criminel, ce qui est une abérration de notre justice et la méconnaissance totale du rôle de la cour criminel, c’est quoi cette affaire, pourquoi Aziz veut coûte que coûte liquider Biram par des voies occultes et mystérieuses, c’est quoi le grand problème entre Biram, Mkheïttir et Aziz.