Lors de sa conférence de presse de mercredi 22 mars, le Président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz a qualifié l’affaire de l’auteur de l’article blasphématoire Mohamed Cheikh Ould M’Khaitir de fait courant qui pouvait rester dans les limites de l’ordinaire, s’il n’avait pas été amplifié par l’Occident.

L’affaire relève de la justice qui devait se prononcer sur ce cas d’apostasie, a-t-il dit, citant à titre d’exemple des interférences de l’étranger du genre, qui ont eu lieu au Pakistan, en Iran et en Afghanistan, comme Etats, ayant vécu des cas similaires et fait l’objet de pressions extérieures, qui ont donné à ces situations une portée exagérée.

Le Chef de l’Etat a évoqué également, des parties qui surfent sur ce dossier auprès de l’Occident pour se forger une réputation.

Il a qualifié aussi l’ampleur donnée à l’échelle nationale à cet aspect, à un service précieux rendu à l’Occident, qui saute toujours sur les questions islamiques intérieures pour raviver la controverse et créer la subversion.

Par la Rédaction de cridem.org

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