Il ne se refuse décidément plus rien, Monsieur Biram Ould Dah Ould Abeidy, Auréolé du prix des droits de l’homme par le truchement des ambassadeurs de Serbie et d’Israël aux Nations Unies à New York, voilà maintenant qu’il se promeut avocat*¹.

On le savait en liberté provisoire, extrémiste et raciste, militant du PRDS sous Taya, souffrant de t....... p.............*² depuis une décennie, accumulant les plaintes pour non paiement de dettes d’achat de moutons , greffier à la Chambre mixte à Nouadhibou, ex-conseiller à la Commission Nationale des droits de l’Homme jusqu’en 2010, et prônant ouvertement une guerre contre le rite malékite musulman.

Mais Avocat ?? A quel Barreau ? De Tel Aviv, de Rome avec sa copine Ivana Diana ? Usurpation de titre, certainement.

N’ayant pu décrocher le poste de Secrétaire Général à la Commission Nationale des Droits de l’Homme où il a usé et abusé les moyens pour asseoir sa réputation et recevoir comme dans une boulangerie une clientèle bigarrée, le voilà qui sillonne les Etats Unis d’Amérique, d’Université en Université surfant sur la vague de son nouveau prix des droits de l’Homme et de la non reconnaissance officielle de son organisation l’IRA pour distiller çà et là des attestations d’adhésion aux « sans papiers » et « réfugiés politiques » d’outre Atlantique et permettre à ceux-ci d’étayer leurs dossiers pour l’immigration, moyennant des sommes entre 1000 et 2000 dollars

Si l’ambition est légitime, l’honnêteté elle, est une exigence de tous les jours et ne saurait souffrir d’exception. L’honnêteté exige de ne jamais verser dans le faux et l’usage de faux Monsieur Biram; l’honnêteté doit être le viatique dont ne doit jamais se départir un droit- de-l’hommiste.

Issa Malik
masil@gmail.com

*¹ Voir lien sur Wikipédia
*² Censuré par Cridem