Cridem Culture - Quand on parle d’Oriazul, on pense à leur populaire tube "Manuela".

Mais, Oriazul, c’est également d’autres tubes comme "Bem", "Ja caba" ou encore "Paciensa" sur lesquels des générations ont dansé…jusqu’en Mauritanie, où ils se produiront dans les années 2000. Le 17 mars dernier, à l’institut français de Mauritanie (ifM), devant un bloc de fans qui s’y connaissait, le groupe épandait sa musique décapitante cousue de batuque, funaná ou encore de zouk…

Un concert inédit, avec la sublime contribution musicale de la jeune et prometteuse chanteuse Tifa, un produit de Nouakchott Music Action (NMA), qui va laisser de marbre tout Oriazul, sur la très populaire chanson de feue Brenda Fassie, "Vulindlela".

"C'était pas vraiment préparé. Vous savez pourquoi. Nous aimerions que vous nous la présentez", lance Daniel Gomèz au public qui lui rétorque fièrement : "Tifa!Tifa!Tifa!". "Donc, nous remercions de tout cœur Tifa", ajoute Daniel Gomèz.

A l'arrivée, le spectacle va durer deux tours d'horloge. Un retour marquant pour Oriazul, dix ans après la dernière prestation du groupe, dans la capitale mauritanienne.

Finaliste en 2011 du concours John Lennon Contest, le groupe Oriazul s’est fait notamment illustrer sur la scène africaine par son titre "Paz e Amor", choisi en 2010 par l’Union Africaine (UA) comme hymne pour la Paix et la sécurité en Afrique.

Par la Rédaction de cridem.org

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