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12-09-2021

11:30

8 livres en lice pour le Prix de la littérature arabe 2021 dont Le Silence des horizons, de Beyrouk (Elyzad)

Adrar Info - Cette 8e édition souhaite mettre à l’honneur la grande diversité de la littérature arabe, à travers les romans d’écrivains algériens, saoudiens, libanais, marocains, mauritaniens, omanais et les palestiniens.

La sélection 2021 du Prix de la littérature arabe a été annoncée le 8 septembre. Pour cette 9e édition, huit ouvrages ont été retenus et seront proposés au jury. Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe.

Soutenu par la Fondation Jean-Luc Lagardère et doté de 10000 €, ce prix promeut l’œuvre d’un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d’un ouvrage écrit ou traduit en français et publié entre le 1er septembre 2020 et le 31 août 2021.

La sélection:

- Les Corps célestes, de Jokha Alharthi (Stéphane Marsan)

- La Théorie des aubergines, de Leïla Bahsaïn (Albin Michel)

- Monsieur N., de Najwa M.Barakat (Sindbad)

- Le Silence des horizons, de Beyrouk (Elyzad)

- Un Jour idéal pour mourir, de Samir Kacimi (Sindbad)

- Dernière Oasis, de Charif Majdalani (Actes Sud/L’Orient des livres)

- Le Cas critique du dénommé K., d’Aziz Mohammed (Sindbad)

- Un Détail mineur, d’Adania Shibli (Sindbad)

Avec cinq titres, le groupe Actes Sud domine largement la sélection, qui met à l’honneur les romans d’écrivains issus d’Algérie, d’Arabie saoudite, du Liban, du Maroc, de la Mauritanie, d’Oman et de la Palestine.

Depuis sa création par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe, le Prix de la littérature arabe a été remis en 2013 à Jabbour Douaihy, en 2014 à Mohamed al-Fakharany, en 2015 à Mohammed Hasan Alwan, en 2016 à Inaam Kachachi, en 2017 à Sinan Antoon ; en 2018 à Omar Robert Hamilton pour son roman La ville gagne toujours (Gallimard / Collection « Du monde entier »), en 2019 à l’égyptien Mohammed Abdelnabi pour son roman La Chambre de l’araignée (Actes Sud / Sindbad) et en 2020 au soudanais Abdelaziz Baraka Sakin pour son roman Les Jango (Zulma).

Par Thomas Faidherbe,

Source : https://www.livreshebdo.fr/





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