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18-11-2021

11:02

Porte-parole du gouvernement: «Si un crime d’esclavage se produit, la justice sera appliquée dans toute sa rigueur»

AMI - le ministre de la Culture, de la Jeunesse, des Sports et des Relations avec le Parlement, porte-parole du Gouvernement, M. Mokhtar Ould Dahi, a souligné que l’État a mis en place un arsenal juridique criminalisant l’esclavage qui constitue le crime le plus abominable contre l’humanité ; tout comme elle créé des institutions de promotion et de défense des droits de l’homme.

Parallèlement à ces actions, a-t-il ajouté, elle a rendu la vigilance des médias et de la population plus accrue à l’égard du sujet.

Commentant les résultats de la réunion du Conseil des ministres qui s’est tenu mercredi soir à Nouakchott, il a appelé à la retenue face aux informations qui circuleraient sur ce type de question, à éviter de relayer les fausses informations et à ne tomber ni dans le travers de l’instrumentalisation politique, ni dans celui de leur banalisation.

Il a précisé qu’il n’est pas exclu que des crimes liés à ces questions puissent se produire mais, le cas échéant, ceux-ci relèvent de la justice qui doit suivre son cours et qui appliquera la loi dans toute sa rigueur.

En réponse à une question sur le prix élevé du pain, le ministre a expliqué qu’il ne s’agit que de rumeurs sans aucun fondement, soulignant que la fédération de boulangerie a un accord avec le ministère du Commerce, ce qui l’oblige à fournir du pain dans toutes les zones sans augmentation de prix ni diminution de poids de la baguette de pain.



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