Le Quotidien de Nouakchott - C’est un lundi noir pour la presse sportive, après la disparition du confrère Salif Diallo, alias Zale. Il est parti à jamais, mais il restera dans nos cœurs et nos esprits. Salif, aura été une référence pour beaucoup de ses confrères et consœurs.

Il fut un journaliste passionné de sport et émérite, mais également un musulman dans l’âme. Depuis que j’ai appris son hospitalisation, j’échangeais avec lui, par l’entremise de la mère de ses enfants, de nos enfants, Bourry. La dernière fois, c’était le 23 octobre dernier.

Elle cherchait toujours à me "rassurer" sur la santé de mon ami, mais le "tranquillisant" ne faisait pas effet. "Ton ami, va mieux", "je lui ai transmis ton bonjour et il te salue", me disait-elle!

L’interdiction de parler avec lui, me laissait toujours, perplexe.

Aujourd’hui, je me remets à Allah comme tout croyant.

Adieu, mon frère et ami.

INA LILLAHI WE INA ILEYHI RAJIOUNE!

Hachim