Madar - L’IRA a condamné mardi ce qu’elle a décrit comme l’emprisonnement arbitraire de Warda Ahmed Souleiman, membre de son comité des médias, et a demandé sa libération immédiate et inconditionnelle.

Le mouvement a confirmé que l’emprisonnement de l’activiste Warda est une « mesure policière arbitraire », ajoutant qu’elle a été envoyée en prison sur la base d’une plainte d’un individu, après qu’elle ait refusé de garder le silence sur ses « obscénités contre l’organisation de l’IRA et ses symboles », selon la déclaration.

Le mouvement a noté que lorsqu’elle a comparu devant le juge d’instruction, elle a refusé de parler sans la présence du plaignant et a rejeté la méthodologie d’intimidation que « le système judiciaire a toujours adoptée en coordination avec des personnes comme le plaignant qui sont des mouchards pour décourager les militants et les amener à la soumission, à l’humiliation, à la défaite et aux excuses », selon la déclaration.

Le mouvement a souligné son adhésion à la liberté d’expression en tant que droit fondamental et non négociable, et a condamné ce qu’il a décrit comme l’utilisation des autorités judiciaires comme un outil pour régler des comptes politiques contre des activistes et des militants pacifiques.