22-01-2017 18:16 - Bedredine critique Aziz de ne pas avoir dénoncé le refus de Jammeh de passer le pouvoir à Barrow

Bedredine critique Aziz de ne pas avoir dénoncé le refus de Jammeh de passer le pouvoir à Barrow

Alakhbar – Le secrétaire général de l’UFP, Mohammed Moustapha Ould Bedreddine, a vivement critiqué, la gestion du Président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, de la crise gambienne, inscrivant sa médiation dans le cadre de sa volonté de sauver son ami Yahya Jammeh.

L’opposant reproche surtout au Chef de l’Etat mauritanien, de ne pas avoir dénoncé le refus du Président gambien déchu, de passer le pouvoir à son tombeur aux élections présidentielles organisées dans ce pays, le Président démocratiquement élu Adama Barrow.

La politique du régime de Ould Abdel Aziz a porté préjudice, appauvri et tourmenté les citoyens dans leur vie, a affirmé également le leader progressiste, au cours d’un meeting organisé par le forum de l’opposition dans la wilaya de Nouakchott Nord.

Traduit de l’Arabe par Cridem




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Commentaires (8)

  • jakuza (H) 23/01/2017 05:32 X

    Bedredine! Décidément! Vous rappelez là votre opposition cryptopersonnelle et stérile. Quand c'est bien dites-le cela ne vous tuera pas. Vous venez de vous fourvoyer!

  • mdmdlemine (H) 23/01/2017 00:24 X

    l'exception qui confirme la règle. On peut être opposant sans être égoiste. Même l'ONU a salué Ould Abdel Aziz*Sur le plan international, l'homme brille. Il faut être honnete avec soi pour juger tous mes respects

  • jahil (H) 22/01/2017 22:31 X

    Voilà le compte rendu de Senego média sénégalais que le Président Mohamed Ould Abdel Aziz n’a pas vous communiquer, honorable Bedreddin, pour la simple que votre contact ne figure pas dans son répertoire : « A minuit, l’expression du président Abdoul Aziz de Mauritanie est cordiale, mais elle est directe et sans fioritures tant elle tranche avec le traditionnel gage diplomatique des comptes-rendus d’audience à chaud. Le chef de l’exécutif Mauritanien, à la surprise des quelques journalistes qui lui ont tendu le micro, a exprimé sa «déception de n’avoir pas pu rallier mon ami Jammeh à se rendre à l’évidence. Je suis très pessimiste pour la suite». Aussi sèchement ! Dès lors, nous avons cherché et trouvé qu’est-ce qui a bien pu mettre en colère le président mauritanien et médiateur de la dernière heure dans cette crise post-électorale en Gambie. De sources très fiables nous rapportent une audience «cache» ponctuée de «franches engueulades». Le président Mauritanien a jeté toutes ses forces, dans son argumentaire «pour prévenir son ami de la détermination des autorités de la CEDEAO et des forces mobilisées à aller jusqu’au bout » «A minuit, tu ne seras plus des nôtres. Tu ne seras même plus ancien président de la république : tu seras un chef rebelle !» Le médiateur a joué la montre avec son hôte du soir, en lui disant qu’ « il est encore possible d’arrêter la machine ».

  • Ksaleh (H) 22/01/2017 21:07 X

    C'est vrai que ce silence de Aziz, son gouvernement et son parti jette un bémol sur son succès dans le départ à l'exil de Diamey. En effet personne ne les a entendu condamner la forfaiture du fou de Banjul. Ainsi, je sais que les laudateurs vont nous tympaniser sur "cette oeuvre" de Aziz, mais il fallait être présent et contre l'ignominie dès le début, mais pas comme le médecin après la mort.

  • doudou19 (H) 22/01/2017 20:48 X

    Tambour qui n'est jamais satisfait de quoi que ce soit. Opposant pour le plaisir de s'opposer. Peut-on remplir un passoire?

  • medmedelmaouloud (H) 22/01/2017 19:58 X

    On juge les hommes au résultat de leur action et le monde entier reconnait aux présidents Aziz et Fondé d'avoir convaincu le Djamé de sortir en douceur, sans bain de sang. Les deux hommes sont sans doute critiquables dans d'autres dossiers, mais pas celui-là. Il faut critiquer quand il faut le faire et saluer les bonnes actions. C'est ainsi et seulement ainsi que nous pouvons vous suivre, messieurs les politiciens de tous bords.

  • El Houssein (H) 22/01/2017 19:00 X

    les politiciens ont le droit de tout dire et de même transformer les réussite en échec. Si Aziz n'avait pas intervenu, on le lui reprocherait encore avec de plus fors et méchants arguments. Pour quoi ne pas penser aux pauvres innocents qui allaient mourir de la faute d'un dictateur et d'autres responsables politiques qui préfèrent les armas au dialogue.

  • hi (H) 22/01/2017 18:59 X

    On n'a pas envie de rire.