14-02-2017 14:53 - Le ministre des pêches reçoit l'ambassadeur du Sénégal

Le ministre des pêches reçoit l'ambassadeur du Sénégal

AMI - Le ministre des pêches et de l'économie maritime, M. Nany Ould Chrougha a reçu en audience mardi dans son bureau à Nouakchott SEM. Mamadou Tall, ambassadeur du Sénégal accrédité en Mauritanie.

Au cours de l'entrevue, les deux parties ont passé en revue les relations de coopération existant entre les deux pays et les moyens permettant de les renforcer davantage.

L'audience s'est déroulée en présence de la secrétaire générale du ministère, Khadijettou Mint Bouka.






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Commentaires (5)

  • medabdul (H) 15/02/2017 00:46 X

    oui !!! des negros mauritaniens pleurnichards.

  • samba el bakar (H) 14/02/2017 20:10 X

    Dans une situation quelconque,une approche pédagogique permet à toute personne honnête d' avoir un jugement raisonnable non passionné.Dans le cadre du dossier pendant des pêcheurs sénégalais en Mauritanie,la décision de notre pays est très logique et défendable avec toutefois comme bémol son application dans un contexte de tension entre les deux pays. Malheureusement dans toute action mal gérée,les dommages collatéraux ne sont pas mesurés.La population négromauritanienne dont le poisson constitue l' alimentation de base se retrouve en otage de considérations politiques sans que cela inquiète nullement quelqu'un.On peut imaginer le tapage qu'aurait déclenché une pénurie de viande.Décidemment être les victimes expiatoires de tout désastre semble être le lot quotidien des négromauritaniens dans leur Pays.

  • jakuza (H) 14/02/2017 18:36 X

    Il faut trouver le moyen d'autoriser nos frères pêcheurs sénégalais à reprendre leur activité ici. Je suis contre cette démarche qui confine à un égoisme stupide au prétexte de préserver nos ressources halieutiques qui sont combien? L'océan est immense et en hommage à cette immensité nous ne devons pas être des "gagne petit".

  • Bafour Wolof (F) 14/02/2017 16:29 X

    des milliers de haratines pourront etre formés dans les techniques de peches par les guet dariens Les poissions migrants du sud au nord ^passant dans les eaux mauritanieenes si les senegalais ne les pechent pas ils vont migrer au maroc et tout le monde perd

  • craicra (H) 14/02/2017 16:10 X

    La pêche artisanale n’est pas un théorème, encore moins une blague, même proférée par, Bay Pekha. Gageons qu’il n’est pas donné à n‘importe qui de conseiller en la matière, ni de gérer et/ou, de développer une pêche artisanale digne de ce nom, particulièrement dans nos côtes en zone de talus. En fait, la pêche artisanale est un métier de titan caractérisée par l’inconfort, les risques et l’ingratitude. Un bon pêcheur est forcément audacieux, endurant et très patriote. C’est pourquoi, gérer la pêche artisanale équivaut à gérer la guerre car, dans l’un comme dans l’autre cas, il faut que la troupe soit rompue à l’idée de gagner quelqu’en soit le prix. La pêche artisanale étant un travail de métier qui nécessite forcément l’apprentissage, à la place du ministre des pêches, je ferais de la pêche artisanale l’une de mes priorités et demanderais à cet effet à l’académie navale de former annuellement à la pêche artisanale et pendant dix années durant, 1000 élèves parmi ceux qui ratent leur Brevet d’études secondaires. Ensuite, je signerais un accord de pêche avec la République sœur du Sénégal, pour une durée de dix ans, stipulant entre autres, le partage des pêcheurs sénégalais de leurs outils de pêche avec leurs frères Mauritaniens en formant des équipages à 50% de chaque nationalité. Au fur et à mesure, que se formeront des équipages nationaux, ils seront automatiquement dotés d’outil de production à raison d’une senne tournante armée (2 pirogues) pour un équipage complet de 50 marins pêcheurs affiliés au ministère.