Certes ! Allah Est avec les justes, mais malheureusement, rares sont ceux qui sont justes dans ce pays du faux, ils sont comptés, ainsi, disons en demandant plûtot Au Noble Maître Exalté et Loué, de nous pardonner tous de nos erreurs, en particulier en ce mois béni qui repart en paix, quant à l'élu de 2019, il est déjà nommé dans Le Decret du ROI des rois (Gloire à lui !)

Cette fin du Ramadan donne une aura aux visages des vrais musulmans de l’opposition qui souffrent le martyr pour faire sortir ce pauvre pays de la gueule du loup. Allah est avec les justes

Si j’étais le FNDU, je ferais attention aux pressions que pourraient subir certains membres du comité chargé de proposer un Président consensuel pour les élections de 2019 : -Un ex-PM arrêté, puis libéré, sans être blanchi, par la sûreté du Président Aziz, n’est pas à l’abri d’un énième « retournement », pour mettre fin à une traversée du désert qui dure -Un Wali en « disponibilité », pourrait être tenté par des offres venant de sa tutelle administrative, pour reprendre du service -Quelques ex-Ministres-Ambassadeurs, en chômage technique, ou en quête de « missions spéciales », seraient tout à fait perméables à une opération de « retournement », qui prolongerait leurs services extra-retraite Et si tout ce « beau monde » attendait que le nom du future Président soit validé par…Aziz ? Le risque que court le FNDU, et qu’il pourrait faire courir à tous ses militants et sympathisants, est claire et grave. La composition de la « commission de désignation » gagnerait donc à être revue.

Un candidat unique, est la seule solution pour sauver la Mauritanie et de renvoyer les incapables bidasses dans les casernes. Il faut élargir la concertation aux sénateurs patriotes et résistants. Vivement 2019! Salam. Oumar Débé