Si dissout, Tawassoul renaîtrait avec un nouveau nom et l'aile radicale pourrait entrer en clandestinité et s'engager dans l'action violente contre les symboles du pouvoir et leurs alliés.En somme une catastrophe pour le pays. Le Président n'a qu'une seule à faire pour la Mauritanie et pour lui: quitter le pouvoir en douceur en laissant aux mauritaniens le soin de s'occuper de leur avenir.

Deux déclarations peuvent confirmer cette information : La 1ère vient du ministre de la défense qui qualifie le parti TAWASSOUL de parti extrémiste et dangereux pour la Mauritanie. La 2ème vient du président de la république qui dit qu’Israël est mieux que le parti Islamiste et il enfonce le clou en ajoutant qu’il n’est pas normal qu’un seul parti utilise et s’accapare l’islam, ce n’est pas acceptable et ce ne sera plus accepté à l’avenir», a-t-il déclaré. L’islam politique est dangereux», a averti le président mauritanien. Donc, un président de la république ne peut pas faire des déclarations de ce genre et qu’il n y est pas de suite visible avec des actions politiques concrètes, il avait aussi averti qu’il y’aura des mesures, peut être coercitive ou je ne sais pas, ce qui est sûr il le fera. Le réveil du lion fera courir l’hyène, on passe et pense à autre chose.

Non ! Pour la crédibilité du régime et de notre jeu démocratique, il ne faut pas interdir un parti. Pour le cas de Tawassoul, nous connaissons les barbus qui ne croient au fond à rien du système démocratique, ils en profitent pour s'imposer au pouvoir. C'est pourquoi, ils se sont transformés (***) pour s'adonner à toutes les activités (***), pour se faire de l'argent. Maintenant au lieu de les interdir, il faut sécher toutes les sources de leur financement.