La préoccupation que nous devons partager est d’assurer la stabilité de nos institutions. Le problème qui se pose pour cela aujourd’hui s’appelle VACANCE DU POUVOIR. Notre Constitution est très largement inspirée de la 5ème française qui prévoit qu’elle est assurée par le Président du Sénat. Nous avons, dans le dernier trimestre 2012, risqué de plonger dans l’inconnu à travers une crise institutionnelle majeure :

1/ Victime de ce qu’on a appelé « la balle amie », le Président de la République était admis dans un hôpital militaire français, laissant l’opinion échafauder toutes sortes de commentaires sur son état de santé et sa capacité à poursuivre l’exercice de ses fonctions de Chef de l’Etat.

2/ Le Président du Sénat, atteint d’une longue maladie, séjournait déjà dans un autre hôpital L’inquiétude était maximale car si l’irréparable survenait, la porte était ouverte à tel point que d’aucuns proposaient la prise du pouvoir par l’armée.

3/ Le Sénat est dissous depuis le 05 août 2017 créant un vide institutionnel concernant la VACANCE DU POUVOIR.

4/ Lors du dialogue national de 2016, trois propositions ont été avancées pour que l’intérim du Président de la République soit assuré par le Premier Ministre, ou par le Président de l’Assemblée Nationale, ou même par le Président du Conseil Constitutionnel. Il est évident qu’aucune de ces personnalités ‘en sont qualifiées :

a/ Le Premier Ministre n‘étant pas élu, ne saurait exercer la Magistrature suprême.

b/ Le Président de l’Assemblée Nationale incarnant le Pouvoir Législatif, ne peux le cumuler avec le Pouvoir Exécutif.

c/ Le Président du Conseil Constitutionnel, en sa qualité d’arbitre entre les Pouvoirs Législatif, Exécutif, et Judiciaire, ne saurait en exécuter un. La solution constitutionnelle nous est cependant enseignée par les USA qui élisent un duo Président et Vice-Président au suffrage universel. La continuité de l’Exécutif est ainsi automatiquement et immédiatement assurée comme ce fut le cas en novembre 1963 lors de l’assassinat du Président Kennedy, ou en août 1974 quand le Président Nixon fut déchu.

Jahil

On ne peut continuer à laisser aux dirigeants du moment la faculté de choisir qui ils veulent dans les hautes fonctions de l'état au moment où celui-ci appartient à tous. Il convient de mettre en place des mecanismes qui permettent un meilleur partage des hautes fonctions ...La création du poste de Vice-président,élu au suffrage universel,fait partie de ses mesures et fera avancer notre démocratie .... Une bonne suggestion !...

ENCORE UNE IDIOTIE de quelqu'un qui s'est mal réveillé ... notre combat doit être pour un dialogue politique effectif et la stabilité démocratique à long terme.

Avec tous ses raisonnements d'équilibristes ethniques, nous ferons mieux, d'après ces absurdités, d'avoir un président pour chaque communauté socio culturelle. tout bête la représentativité par ces critères idiots.

Une proposition qui fera avancer la démocratie en Mauritanie.Un groupe parlementaire devrait prendre l'initiative de présenter un projet loi allant dans ce sens...

On ne voit pas dans le texte la justification d'un tel amendement. A quoi servirait un vice-président qui ferait de la simple figuration ? Un vice de plus ? La solution nécessite d'abord un état d'esprit favorable, un climat serein et un dialogue national

L'auteur du texte fait un constat et propose une solution,la création d'un poste de vice-président élu au suffrage universel,un plus démocratique.Quant à la situation des Wolofs en Mauritanie ou des Maures au Sénégal,il s'agit d'un autre problème,où il y a à boire et à manger ...

Des idées saugrenues, bizarres...

Je ne suis pas antimilitariste, mais si on crée un poste de vice-président pour avoir quelqu'un comme Aziz, un militaire qui n'a d'autre ambition que de devenir riche, lui et sa tribu, à quoi bon ? En réalité le problème de la représentativité ne sera résolu qu'avec l'avènement d'une vraie démocratie : processus électoraux transparents (à tous les niveaux); une vraie justice sociale (une justice indépendante et honnête, une répartition équitable des richesses ; promotion de la compétence, de l'intégrité etc). Il est vrai que la situation devient alarmante car on voit bien que les dirigeants actuels du pays pratiquent une discrimination à ciel ouvert, et ne semblent pas se soucier de l’unité nationale et du droits de toutes nos communautés et différents groupes sociaux marginalisés. Ils appliquent, depuis 10 ans, les préceptes édictés par Ould Breydelil, de blanchiment de la Mauritanie.

Diarrhée littéraire...!

Même la nuit la plus sombre prendra fin et le soleil se lèvera … La seule solution possible, c'est d'améliorer la légitimité du pouvoir avec une élection transparente en espérant que la bonne gouvernance suivra ...

Même la nuit la plus sombre prendra fin et le soleil se lèvera … La seule solution possible, c'est d'améliorer la légitimité du pouvoir avec une élection transparente en espérant que la bonne gouvernance suivra ...

Le visage de la Mauritanie ne va pas s’améliorer et elle ne sortira pas grandit avec le poste de vice-président qui risque de revenir aux mêmes. Cette idée n’est pas de toi, cela vient de ceux qui pensent que le président Aziz doit rester au pouvoir par le poste de vice-président. Tu sais que le pouvoir ne sera jamais entre les mains d’un hartani, ni à un poulaar comme vice-président et ne parlons pas des oubliées, les Wolofs qui n’ont même pas de secrétaire général, pour penser à un ministre, les Wolofs sont les seules absents partout, parce que calme ne demandent rien, ne protestent pas, mais on peut leur donner le poste de vice-président. La mouche tsé-tsé qui a piquée ton esprit d’élargissement fait de toi le plus grand aveugle de cette république, à moins que le président de la république Aziz te file l’idée de penser de la sorte pour soulever un débat, mais des hommes qui ne peuvent pas être équitable et juste en tant que disent-ils des musulmans avec le peu qu’ils ont, le pourront ils avec beaucoup.

Mon vieux ! Quel charabia !