01-12-2018 21:04 - Le Président de la République rend hommage à la culture démocratique bien ancrée au Sénégal

Le Président de la République rend hommage à la culture démocratique bien ancrée au Sénégal

AMI - Les manifestations marquant la conférence sur la candidature de Son Excellence Monsieur Macky Sall, Président de la République sœur du Sénégal aux élections présidentielles prévues le 24 février 2019 ont débuté samedi à Dakar.

Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, a assisté aux côtés de Chefs d’Etat et de gouvernement ainsi que de personnalités officielles en plus de nombreux invités à la conférence sur la candidature du Président sénégalais Monsieur, Macky Sall, candidat de la coalition Benno Bokk Yakar en vue des élections présidentielles du 24 février prochain.

A cette occasion, le Président de la République a prononcé une importante allocution dans laquelle il a tout d'abord adressé ses vives félicitations, celles des dirigeants et des militants du parti "Union pour la République ainsi que celles du peuple mauritanien pour son investiture comme candidat du parti de l'Alliance pour la République et de la coalition présidentielle Benno Bokk yakaar, aux élections présidentielles du24 février prochain".

Il a ensuite indiqué que "les relations entre la République Islamique de Mauritanie et la République du Sénégal sont excellentes", soulignant que "nos deux peuples ont toujours entretenu des rapports fraternels nourris par des valeurs communes, une histoire partagée et des devenirs solidaires".

Ces dernières années, a-t-il poursuivi, "nous avons, avec notre frère et ami Son Excellence Macky Sall, œuvré à approfondir davantage ces relations de manière à ce qu'elles servent le plus efficacement possible l'intérêt mutuel de nos deux peuples", ajoutant "nous avons apprécié en lui son leadership, et la force de son engagement à renforcer davantage les liens de coopération entre nos deux États et consolider les relations de fraternité entre nos deux peuples frères".

En Mauritanie, nous pensons, a dit le Président de la République  "que l'une des conditions fondamentales du développement d'un pays c'est de faire du jeu démocratique libre et transparent le seul régulateur de la vie politique". C'est le gage, a-t-il assuré "de la construction d'un Etat de Droit, de la mise en place d'une bonne gouvernance et de la promotion des libertés individuelles et collectives". A cet égard, a-t-il dit, je rends hommage, ici, à la culture démocratique bien ancrée au Sénégal.

Le Président de la République a conclu en disant: Tout en étant convaincu que les prochaines élections présidentielles traduiront effectivement la volonté du peuple sénégalais, je souhaite "pleine réussite à mon frère Son Excellence Macky Sall ainsi qu'au parti de l'Alliance pour la République et à la coalition Benno bokk yakaar".





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Commentaires (1)

  • synthetiseur (H) 02/12/2018 12:02 X

    Dans son allocution Aziz a adressé à Macky Sall les félicitations des militants de l'UPR; Ould Maham était pourtant présent et c'est lui jusqu'à nouvel ordre qui est président de l'UPR; Il a été invité non pas en sa qualité de ministre mais de président de l'UPR. et c'est lui qui devait prononcer ce discours. L'article de la constitution qui proscrit au président la présidence d'un parti ou l'appartenance à ses instances a été malmené dans ce cas -ci aussi après les campagnes tonitruantes du président à travers tout le pays en faveur de l'UPR. Jusqu'ici ces enfreintes étaient de l'ordre du domestique maintenant que l'ingérence du président dans la vie politique est ouvertement portée vers l'Etranger cela configure clairement et nettement ses ambitions futures d'un président de l'UPR qui va vouloir phagociter le prochain président, le prochain Exécutif et le prochain parlement; N'oublions pas que le collège qu'il avait suggéré au parti et qui devait renfermer le Premier Ministre, le Président de l'Assemblée, etc....sous sa propre coupe et les carottes seront ainsi cuites... Dans cette manoeuvre très bien élaborée, il va tout faire pour que Baya soit le futur président et que Boydiel soit le future président de l'Assemblée. Son autre joker Laghdaf jouera le second couteau pour profiter de l'chec de Baya, certain du reste, et se constituer en sauveur; d'autant plus que l'homme essayera de ratisser du coté de l'opposition qui continue à se faire berner par une hypothétique possibiliét de s'approprier la victoire éventuelle d'un Ould Mohamed Lghdaf issu des rangs de l'opposition en 2008.