Merci, de ta réponse à mon posting, sur nos derniers fameux représentants sur les terres helvétiques, même si avec subtilité ‘’LEFEYTLI GUIDMAK ‘’ (tu m’as donné un coup de pied). Comment pourrais je être raciste contre une personne tierce, à plus forte raison contre des cousins de race, de surcroit victimes du mépris et de la condescendance d’une société obscurantiste, vivant dans les forces des ténèbres ; même si ces derniers par intérêt et non par conviction se versent dans le déni de souffrance et de martyr de la brasseuse de couscous, de la vendeuse du tabac, des légumes, du gardien vêtu en haillon entre deux buildings à soukouk ; bref contre une communauté qui est la leur : les hratin. Dire la vérité à une personne, ne signifie point une haine, oui la nature humaine est complexe. Tout le monde sait, même THIB LITEL WALATA (le chacal se trouvant au nord de walata), l’accomplissement de la sal besogne accomplit, je n’irai pas loin là où se cache le diable. Je peux les comprendre, mais les pardonner, ah et les autres qui gémissent dans la souffrance. Ces cousins de race sont victimes du syndrome de Dominique vidal qui disait : ‘’ Dans les sociétés où l’inégalité est tenue comme fondée en nature, l’allégeance à un maitre ou à un pouvoir politique ou religieux, assure souvent à celui qui se trouve en situation d’infériorité une position qui, subalterne et fragile qu’elle soit, lui permet de se construire une identité sociale positive’’. Pa rapport à l’articulation linguistique, je préfère me taire pour ne pas dévoiler les limites perçues dans ton commentaire.

Je pense que cette reconnaissance des ambassadeur africains et arabes doit être apprécié à sa juste valeur. Les prédécesseurs n'ont jamais bénéficier de ces égards. Ould zahav que quelqu'un a cité à quitté Genève pour aller en prison à la suite d'une inspection. Il paraît qu'il a des dettes avec des ambassadeurs donc il nose pas leur dire au revoir. J'ai un ong des droits de l’homme depuis avant zahav, et je sais que nos ennuis à Genève viennent de Nouakchott où on a des responsabilités qui ne font pas leur travail. Tout le monde des droits de l’homme actuels ne comprennent rien aux droits de l’homme à part ould tourad, les autres c'est des opportuniste qui ne disent pas la vérité au président. C'est pour cela que irabiha est dégradé vers D.

mseyke le martyr, J'aimerais bien lire vos arguments. Ou ne serait-ce qu'avoir un aperçu de votre "savoir" et de votre maitrise du dossier des droits de l'homme à l'échelle mondiale et à l'échelle mauritanienne. Que savez-vous de ce qui se passe en Suisse ? que savez-vous de l'évolution de notre ambassade dans les terres helvétiques ? Que savez-vous des examens périodiques ? (Et je vous en prie, épargnez-nous les bribes d’arguments ramassés ici et là sur les sites d’informations) Je me permets de vous corriger, rien qu'au niveau des noms et prénoms : Sid’Ahmed Zahav et Salka Bilal Yamar (ces derniers commencent par une majuscule à ce qu'on dit). Et je vous dis, placer M. Zahav et Mme Yamar dans le même sac, et déclarer un échec cuisant ; ça sent un peu la mauvaise foi de haut vol et une pincée subtile et fine de racisme. Il est facile de crier à l'échec sans expliquer, de crier la défaite sans décrire la victoire et de parler de bataillon sans nommer les gens. Au lieu de saluer le geste de respect et d’estime dont bénéficie la Mauritanie au départ de cet ambassadeur, certains préfèrent se délecter de commentaires haineux et désorientés. Soyons constructifs…

Cette ambassade dans le pays des droits de l’homme, la Suisse fut occupée ces dix dernières années par des Hommes à ascendance servile : Sid’Ahmed zahav et Salke Bilal yamar, derrière ces deux nominations se cache un camouflé pour ne pas dire de déguisement. Cette politique de dressage des personnes de même condition servile a échoué lamentablement grâce au génie, à la lucidité et à la méthode scientifique opéré par la diplomatie droit de l’hommiste dans le monde civilisé déjà rentré dans l’histoire. Malgré la présence de ces deux professeurs de formation transformés en diplomates de déni et de négationnisme, la Mauritanie à toujours été recalée dans les examens périodiques de la commission des droits de l’homme de Genève pire cette année c’est la dégradation D’où le retrait du bataillon vaincu qui se limite desormais aux tires sporadiques devant l’armement lourd des militants pacifiques mais tenace. Comme dit l’adage poular fenani o yahta yess.