27-01-2019 14:30 - SMOB : Y a-t-il plus unité nationale que lui

SMOB : Y a-t-il plus unité nationale que lui

Mohamed Hanefi - En certains moments critiques et décisifs de l’histoire des nations et des peuples, apparaissent des personnalités efficaces et utiles pour la sécurité du changement. Des hommes et des femmes nés pour le calme de la paix, l’équité du jugement et la satisfaction de tous.

Un acteur équilibré et juste qui convient aux différentes parties et qui garantisse l’intérêt de l’intérêt général et l’intérêt de l’intérêt particulier du droit de chacun suivant les spécificités culturelles sociales, économiques et politiques de tout mauritanien Sidi Mohamed Ould Boubacar, est l’homme qu’il faut pour moi.

Certain penseront tout de suite que je présente le parent ou l’ami de toujours. Très loin de là, et Dieu m’est témoin. Quand j’ai pensé à cet homme en cet endroit si loin de lui et du terroir, j’ai pensé, avant tout et au-dessus de tout à l’intérêt de la Mauritanie.

J’essayerai de me faire plus clair et je suis sûr que tout lecteur de bonne intention et de bonne foi patriotique comprendra et se joindra à mon raisonnement. Ce sera avant tout dans l’intérêt national, pour l’unité nationale et pour la survie de la nation.

Il n’est un secret pour personne, que la Mauritanie, sur les portes d’une élection présidentielle, qui annonce de très grands changements, requiert le tri impartial, de ses meilleurs fils, pour passer ce test si plein de risques et si porteur d’espoir.

La Mauritanie a besoin de ses meilleurs enfants pour construire ce changement calme par les voies sûres, et crédulement authentiques suivant les règles du système démocratique moderne et de façon fraternelle propre et transparente.

Qui d’autre que lui, alors ?

Voyons la carte nationale d’identité de cet homme.

Je ne prétends pas le connaitre mieux que quiconque, mais je confirme que depuis l’âge de six ans ou moins, j’ai observé de plus que près l’évolution de la vie de ce frère, qui, à mes yeux n’est autre que l’image de la Mauritanie dans toute sa diversité et sous toutes ses couleurs. Un homme duquel personne n’ose ouvrir la bouche et dire qu’il lui a porté préjudice un jour.

Un homme qui a occupé tous les postes clés du pays et qui en est sorti, propre comme au jour de sa naissance.

Un citoyen, fils de toutes les régions et de toutes les communautés du pays, comme j’en suis témoin et comme je vais le prouver tout à l’heure.

Sidi Mohamed Ould Boubacar ould Boussalif est né le premier mai 1957 à Atar. Il fut allaité par maintes femmes de l’Adrar. Des mères, qui refusent jusqu’à nos jours de le céder à aucune autre parenté.

La fonction de son père Boubacar Ould Boussalif, qui servait dans l’armée républicaine, et qui était sans cesse affecté d’une région à l’autre, devait lui faire des attaches sanguines dans toute la Mauritanie.

Au début des années soixante-dix, son père fut muté à Nema, dans le Hod Ech-Chargui. Il y tissa des relations solides avec les habitants de cette région et les enfants grandirent avec leurs semblables de cette grande wilaya. Beaucoup de citoyens de l’Est du pays pensent encore à nos jours que la famille Boubacar Boussalif est une des leurs. Ils n’ont pas tort.

Cette parenté, qui leur est disputée âprement par les habitants du Taguant qui refusent de partager l’appartenance de Sidi Mohamed. Ses amitiés solides avec les cadres de cette région scellent des relations fraternelles sincères et qui ne cachent pas de piège.

Sidi Mohamed Ould Boubacar est issue d’une famille du centre du Brakna. Il est de la tribu très célèbre des Oulad Ahmed. Ses parents sont aussi bien noirs que blancs. Sa famille a participé activement dans l’ancien temps à la défense et la protection des Haleibé, victimes en cette époque de la pagaille des razzias de certaines tribus. Ils ne demandèrent en compensation qu’une alliance entre les deux ethnies.

Les Haleibés à leur tour défendirent les Oulad Ahmed en maintes occasions.

D’ailleurs Boubacar, le père de Sidi Mohamed porte le nom d’un dignitaire Haleibé :

Boubacar Baydi. L’on sait, en Mauritanie le degrés de considération quand on donne le nom d’un grand homme à son enfant.

Ce pacte continue à nos jours, à tel point que beaucoup pensent que les Haleibé et les Oulad Ahmed sont chameau-blanc et blanc-chameau. Toute la période où ce haut fonctionnaire de l’état a servi le pays, il n’a cessé de renforcer et de consolider ces relations, qui s’étendent du Brakna, au Guidimagha le Gorgol et jusqu’aux frontières du Sénégal.

Sidi Mohamed est un homme du Trarza, d’abord par les différents liens de consanguinité qui le lient à cette auguste région du pays. Ensuite par des liens généalogiques et de profondes interactions matrimoniales.

Ceci qui fait que les terrouzi refusent de l’attribuer à une autre région.

Sidi Mohamed est un homme de l’Ouest du pays, car sa famille Ehel Boussalif, à l’origine appartient à la tribu des Gour''’’. Il s’est toujours considéré comme fils de cette partie du pays. Sidi Mohamed n’a jamais fait de distinction entre un parent noir ou blanc. De Zoueirat, au Gorgol, au Guidimagha, au Taguant, demandez si une région de notre vaste territoire a jamais senti qu’il lui était étranger.

Il ne s’est jamais pensé autre chose qu’un citoyen mauritanien, qui a pour devoir de servir ses concitoyens quelle que soit leur ethnie, leur couleur ou leur origine.

En terminant ses études en 1982 en France, le premier poste qu’il occupa était celui de trésorier général. Lieu qui a mis tant d’hommes à l’épreuve.

جربوهم بالدراهم ولا تجربوهم بالصوم والصلاة

1984, c’était le coup d’état contre Mohamed Khouna Ould Haidalla. Il fut destitué, bien sûr de ses fonctions, comme tout le monde. Mais très vite après les contrôles et les enquêtes, les nouveaux dirigeants, arrivèrent à la conclusion que ce jeune homme accomplissait un travail de titan avec une propreté totalement différente des « coutumes traditionnelles » de nos responsables.

Ils le convoquèrent immédiatement et lui confièrent la direction du budget.

Sidi Mohamed Ould Boubacar est l’homme qui a occupé toute les directions des finances et jusqu’à sa nomination comme ministre des finances, en 1989, avant de lui confier la primature, pour la plus longue période connue.

Il a redressé toutes les directions rouillées ou gangrenées par la corruption dans le calme de la discipline et la rigueur de la justice.

Il s’est pourtant toujours considéré comme simple et modeste citoyen, qui respectait tout le monde indépendamment de la fonction ou de l’origine.

Personne n’entendra, ni ne dira jamais que Sidi Mohamed a trempé la main dans les biens publics. Il me plait de conter qu’étant, son ami de prime enfance et fils de sa tante, quand je suis allé le voir, alors qu’il était directeur du budget pour obtenir un logement, au temps ou Ould Ahmed Deyye était ministre des finances, il me dit calmement : Mohamed, les ordres du ministre sont d’arrêter ces opération. Il me commanda simplement à son ami Mohamed Mahmoud Ould Aghrabatt, alors directeur adjoint de la BALM, qui me fit un prêt de 200000 ouguiyas avec lequel j’ai acheté un petit terrain à Toujounine.

Déclaration de mon patrimoine et limite de son intégrité.

Ahmed Louleyd, c’est le nom que nous lui donnons en famille, n’a jamais mélangé affaires familiales et affaires publiques. Ceci est l’origine de l’admiration que nous lui portons. Nous tous sa proche parenté.

Il n’a jamais joué avec la chose publique. Et quand les terrains ont été distribués, ils le furent équitablement à tout le monde sans distinction aucune et par la seule considération du besoin et du mérite.

Exactement comme Dieu a dit : « إن الله يأمر بالعدل والإحسان

Même ceux qui ne sont ni fonctionnaires, ni agents de l’état, les simples citoyens, il leur suffisait de rentrer dans son bureau (rarement fermé), et de prouver leur indigence ou leur nécessité pour avoir leur terre. Jamais rien de particulier pour les parents. Ni privilèges, ni distinctions spéciales.

Il en est sorti propre selon les témoignages de l’opposition comme de la majorité.

Quand il y eut le coup d’état contre Maawiya, il était ambassadeur en France. Les acteurs d’alors le convainquirent qu’il était le seul à pouvoir redresser la situation dans le calme et la paix. Les nouveaux gouvernants lui demandèrent de retourner au pays pour tenir le gouvernail de la transition. Pendant cette période cruciale et déterminante pour l’avenir du pays, il a dirigé le gouvernement sans jamais choquer quiconque. Il en est ressorti en bon terme avec le gouvernement, l’opposition et ses proches collaborateurs, sans aucune tache.

En ces jours de profonde attente et d’anxiété douloureuse quant à l’avenir de cette nation ; en cette phase cruciale de nos transitions souvent houleuses et effervescentes et où chaque acteur politique clame la priorité nationale, sous couvert de rêves et de fantasmes, que nous n’avons malheureusement que trop bien expérimenté, il est prudent de choisir parmi nos fils (qui sont tous à la hauteur), celui qui par la langue de l’expérience et le compte de réalisations concrètes a démontré que l’importance du pays dans sa vision est au-dessus de toutes autres considérations.

La Mauritanie a besoin d’un mauritanien ; un symbole de l’unité nationale dans toute sa diversité ; un homme pour lequel l’intérêt suprême du pays est sacré ; un homme juste ; un académicien qui a fait ses preuves et qui a mis sa connaissance et son savoir-faire à maintes occasions au service de son peuple, sans jamais le trahir.

Un fils de tous et de chacun, un Sidi Mohamed, car l’unité nationale c’est lui. La justice sociale c’est lui et la préservation de l’intégrité sacrée du pays, c’est lui.

Oui l’ancien premier ministre a toujours été ainsi : sans enchères ni adjudications. Un humain compatissant pour les pauvres, affectueux pour toute la Mauritanie, déterminé et tranchant avec justice, pour le règlement des contentieux et des torts.

Il n’était pas homme de profits, et ne courait pas derrière les butins.

Comme tous les grands hommes, il se distinguait par sa modestie, sa sobriété et son effacement de la lumière de l’ostentation et de l’arrogance.

Toute sa vie durant il fuyait toute action et tout geste pouvant écorcher l’honneur ou l’intégrité d’un grand homme d’état.

Il est très difficile voire impossible de citer ici toutes les qualités de cet homme, qui n’a cessé de grandir dans mon esprit depuis le matin de l’indépendance.

Qui d’autre que lui peut dans le calme et la sérénité aider le pays à faire un autre pas sur le chemin houleux de cette démocratie aux visages changeants et incertains?

Ce n’est qu’un témoignage, un vœu. Ahmed Louleid est à la mesure de l’espoir et la Mauritanie le mérite bien.

Mohamed Hanefi. Koweït.



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Source : Mohamed Hanefi
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Commentaires (23)

  • kadimapur (H) 29/01/2019 19:37 X

    Il s'agit là d'un homme d'état compétent et expérimenté et sa candidature, si elle était confirmée, serait une excellente chose pour le pays car même si le candidat de la majorité actuelle l'emportait , cela contribuerait malgré tout à positionner le pays dans le débat démocratique et le préparer petit à petit vers une véritable alternance qui finira par devenir naturelle et apaisée...

  • Savia med varough (F) 29/01/2019 16:46 X

    وخيرت يعجبني هذا الرجل ثقافة وأخلاقا وتسييرا للشان العام لم يشهد له التاريخ يوما لا بالعنصرية ولا بنهب أموال الدولة ولا بالظلم

  • luietlautre (H) 29/01/2019 15:13 X

    Ce Monsieur est raciste, clanique, ingrat, mauvais et je ne sais quoi d’autre de répugnant Je le connais depuis plus de 45 ans. Je ne m’étonne guère de l’article de Hanefi car c’est quelque part son parent et nous connaissons bien les Mauritaniens. Ils sont incapables d’être objectifs lorsqu’il s’agit de parler des siens. Je préfère ne même pas aller plus loin tellement ce mec ou pékin est méprisable.

  • morelam (F) 29/01/2019 06:03 X

    BIRAM BIRAM BIRAM

  • Socrateplaton (H) 28/01/2019 21:37 X

    Merci Hanefi pour cet article de grande facture comme toujours bien argumenté . Que ceux qui sont contre ra proposition avancent des arguments et des raisons valables et non pas des insultes gratuites. Certes la mauritanie regorge d’hommes bien mais Ould Boubacar est un homme intègre, propre et compétent . Son expérience réussie de la transition 2005 le prédispose sans conteste à briguer la magistrature suprême .

  • SAF-B.F.L. (F) 28/01/2019 19:24 X

    HÉÉ! BONNET YOO! Mon mari m'a dit que ce Hanefi, il lui savait du sang métallo qui coule dans ses veines mais quant à ce griottisme; on ne savait pas qu'une goutte d'un tel sang coulait également dans ses veines. Après avoir fait des clins d'œil à Aziz pour qu'il le nomme ministre de la prêche et de l'Économie religieuse.... mais en vain; le voilà faire des louange à ce Sidi Mohamed ould Baybacar! Vraiment drôle de sa part! Mon mari opterait pour un monsieur (cccom ou Cheikhani Sidina) qui a un projet de société passe-partout! Donnons lui les reines du pouvoir si utopique que soit son projet! Essayons le diablotin! HÉÉ! BONNET YOO!

  • bleil (H) 28/01/2019 18:14 X

    CE PERSONNAGE, c'est du passé au meme titre que Ould Taya et Ely Ould Mohamed Vall qui ont saccagé le pays ... etre un homme de paille ne doit pas etre considéré comme vertue ! Mais acceptons que ceux qui ont déja été dans le sillage du pouvoir militaire, ces fameux « serviteur » de "l'Etat" doivent avoir le courage de manager leur pitance loin des regards de nos paisibles populations affamées ... Quant à l’intégrité morale, cela a tout un sens mais nous savons qu'aux pays des aveugles ... PROPOSITION REJETÉE !

  • mohamed hanefi (H) 28/01/2019 17:13 X

    Amis de Cridem. Avec mon amitié et mes respects. Cet article, ayant attiré nombre de lecteurs et de commentateurs, devait rester un petit 48 sur la première page. Comme les choses en haut que nous avons récité par cœur mashallah. Des intervenants, profitant de « l’éclipse » de l’écrit, multiplient les critiques et ce site respectable devait permettre l’échange sur un problème de l’heure et qui nous concerne tous, au premier degré. Ceci dit accuser Sidi Mohamed d’être le « serviteur » de Taya, serait un jugement complet, quand on ajoute que tous ceux qui respiraient sur ce territoire étaient serviteurs de Taya ou de Haydalla, ou de tout celui qui a pris le siège présidentiel par la force. Je parle du cuisinier au plus haut poste. Quant à l’intégrité morale, wallahi je n’en parlerai même pas. Car ce serait un affront et une offense impardonnables pour cet homme que de citer son nom dans les milieu de l’immoralité et de la calomnie gratuite. Celui qui est loué par toute la Mauritanie, peut souffrir quelques impétuosité d’âmes aigries, qui ne manquent aucune occasion de dire le mal. Si l’un de ces messieurs veut se présenter pour « sauver » la Mauritanie qu’il le fasse, sans cracher son venin sur autrui. Surtout sur ceux qui n’ont jamais cité quelqu’un en mal. Sidi Mohamed n’aime pas le pouvoir et moi, je n’ai fait qu’une proposition…un simple point de vue.

  • foutatoro (H) 28/01/2019 16:23 X

    C’est grave, car, malgré votre volonté incroyable de l’absoudre, même en le plongeant dans de l’or liquide pour redorer son blason, ce monsieur restera l’une des GRANDES incarnations du mal absolu dans ce pays. L’homme qui a servi avec abnégation un sanguinaire, doublé de génocidaire. Pendant, qu’il servait le psychopathe Taya, des milliers de personnes dans ce pays vivaient dans une marre de sang et de larmes. Et lui, était à son premier ministère à travailler au service de son mentor comme si de rien d’était. Aujourd’hui, on veut nous faire croire que cet homme est blanc comme neige. Car, au moins, sa responsabilité morale dans la tragédie des négro-africains dans ce pays dans les années 90 est engagée. Plus grave encore, dans tout le pays, vous n’avez trouvé que ce monsieur pour diriger ce pays. Combien de personnes valeureuses regorge « ce pays » pour incarner le pouvoir suprême ? Des personnes qui n’ont aucune casserole derrière elles ? Des milliers ! Toutefois, M. Hanefi, vous êtes libre de choisir qui vous voulez, mais vous ne pouvez pas aller contre cette recommandation divine… « ne jamais servir ceux qui sont dans la turpitude ». Le régime de Taya était plus que de la turpitude absolue. Il était le nazisme tropicalisé. Devinez la grande proximité d’un président avec son premier ministre !

  • Sidikader200 (H) 28/01/2019 16:19 X

    J'aurais voulu que l'opposition présente quelqu'un de ses leaders historiques mais la situation politique est telle que , dans ce cas , l'opposition n'a aucune chance de remporter les élections . En présentant Ould Boubacar , elle ouvre la possibilité de rassembler même au delà de son électorat traditionnel et peut avoir de sérieuses chances de battre le candidat du pouvoir dont les calculs seront entièrement faussés. D'autant que ould Boubacar qui a déjà géré avec succès la transition 2005-2005 a donne la preuve qu'il est un homme de consensus et un grand homme d'Etat.

  • bleil (H) 28/01/2019 14:03 X

    (***)... SERVITEUR DE TAYA ... Éminence grise du PRDS ! C’est ce genre d'hommes (***), sans attache morale qui a détruit la Mauritanie ... un homme issu du milieu, sans foi ni loi, qui fait fortune par le biais de ses "amis" tribaux et sans envergure politique !

  • leguignolm (H) 27/01/2019 23:05 X

    Le pourquoi, je me méfie de ce Mr, c’est ce silence total qu’il a préféré garder quand il a rendu le tablier de son gouvernement en plus sa façon de quitter brusquement à la président sans se donnait la peine d’expliquer au peuple. De quoi s’agit’ il ? Qu’est ce qui s’est passé au juste entre lui et ses anciens collaborateurs ? Depuis, il me revient en tête, est une mission accomplie ou une mésentente ! Que disait l’autre : « Dis-moi ce que tu aimes et je te dirai ce que tu es ». Autrement Hanafi, une citation de chez nous qui disait : « Qu’il n’est pas nécessaire d’en saler la viande d’un âne hors d’âge ni avant ni pendant ni après la cuisson ».

  • Socrateplaton (H) 27/01/2019 22:14 X

    C’est ce genre d’hommes dont la Mauritanie a besoin, un homme issu de la Mauritanie profonde , du centre de la Mauritanie où se croisent et s'entremêlent les communautés noires et blanches. L’avenir du pays ne se construira qu’avec des hommes comme lui ouverts sur les autres, habitués au vivre ensemble , pas avec des hommes enfermés dans leur propre tribu, ignorant tout de la mauritanie multiculturelle et multiethnique.

  • diambarardo (H) 27/01/2019 21:13 X

    Toute cette littérature n'était pas nécessaire pour dire que Ould Boubacar est un homme de grande valeur intellectuelle et morale. Il sera sans doute un candidat rassembleur capable de faire renaître l'espoir parmi les populations.

  • abdi10 (H) 27/01/2019 20:51 X

    Cet homme n'a pas de déboires comme vous l'avez dit M. Hanefi. Le pays a besoin de patriotes comme lui pour lui débarrasser de tous les "ismes" négatifs car en fait, l'unité nationale ne peut se construire sur le terreau de l'injustice et du racisme. Les Noirs n'ont pas de problèmes avec les maures mais c'est l'Etat qui a alimenté les tensions. les populations d'une localité de la vallée ont organisé une fête devant le domicile d'un Hakem (bidhan), le jour de son départ pour lui témoigner combien ils sont reconnaissants pour les services rendus par ce commis de l'Etat. donc, nous avons besoin de dirigeants justes d'où qu'ils viennent, quelles que soient leurs couleurs, les origines sociales etc.

  • duneoasis (H) 27/01/2019 19:24 X

    Il est vrai qu'il y a un certain consensus sur les qualités de cet homme réputé pour sa compétence,sa probité morale et son engagement patriotique. Ce sont des qualités qui intéressent la plupart des mauritaniens dans le contexte de l'élection présidentielle à venir. Il pourrait faire partie des valeurs sûres.

  • pannel (H) 27/01/2019 19:17 X

    Salam et merci, Mohamed Hanefi,même si Ould Boussalif, est propre, c'est toi que nous réclamons, car tu vas offrir à la Mauritanie une grande chance. Citoyens et citoyennes de Mauritanie, nous voulons que Mohamed Hanefi, soit notre candidat, signons une pétition à ce propos. Que ceux qui savent faire les pétitions nous le fassent, nous allons signer avec 400000 signatures. Merci

  • Tireur (H) 27/01/2019 17:43 X

    Le seul fait qu'il soit comptable du bilan de l'ex régime népotique le disqualifie.Faut nous présenter des hommes propres et moins muouillés.On n'en a marre de ce cirque,toujours prendre les mêmes et recommencer.On ne peut pas faire du neuf avec du vieux!

  • jahil (H) 27/01/2019 17:06 X

    Sidi Mohamed Ould Boubacar ould Boussalif est incontestablement né avec une cuillère d’argent dans la bouche. Il est de père « GOR » comme le Président Mohamed Khouna Ould Haydallah, et de mère « Oulad Ahmed », sœur de Ethmane Ould Boubacar, père du Colonel Abdarrahmane Ould Boubacar, et de Hmoymod Ould Boubacar Chef des « Oulad Ahmed » dont Maghtar Lahjar est le fief. Ces derniers sont les alliés traditionnels des Oulad Byeyri, face à l’alliance Idjeyba – Oulad Bousba. Cela s’est manifesté lors du duel Ahmed Ould Daddah – Sidi Ould Cheikh Abdallahia lors de l’élection présidentielle de 2007. Après ses études supérieures en France, et dès son retour au pays, le Président Mohamed Khouna Ould Haydallah l’a confié à feu Samba Lampsar Sall alors trésorier régional à Nouadhibou, pour un stage de quelques mois avant sa nomination au poste de Trésorier Général. Sous Ould Taya, le lobby militaire d’obédience nassériste s’est chargé de sa fulgurante ascension à la Primature, via la Direction Générale du Budget et le Ministère des Finances. Remplacé à la Primature par Cheikh El Avia Ould Mohamed Khouna, il fut nommé Ambassadeur dans plusieurs pays dont le dernier fut la France. Au lendemain du 02/08/2005, le lobby militaire d’obédience nassériste, et le Colonel Abdarrahmane Ould Boubacar alors N 2 du CMJD, le proposèrent pour assurer la Primature de la transition avant de reprendre un périple diplomatique.

  • MAROU2015 (H) 27/01/2019 16:52 X

    Il a surtout servi deux grands hommes qu on ne peut pas oublier Maaouya et Ely qui sont connus pour leur intégrité.

  • almady (H) 27/01/2019 16:40 X

    Je suis tout à fait d’accord avec vous.

  • medabdul (H) 27/01/2019 15:59 X

    oui oui; un homme bien sous toutes les coutures.mais le général ghazwani est un homme très bien lui aussi sous toutes les latitudes.

  • nemahaidara (F) 27/01/2019 14:59 X

    Désolé professeur ,je croyais qu’on recherchait tous un changement veritable . Mais ce que vous pronez là n’est qu’un replâtrage. Pourquoi pas permettre à la majorité d’acceder au pouvoir ,et poser un jalon vers un partage équitable des hautes fonctions entre toutes les nationalités (comme le Liban confessionnel) Au lieu de toujours proposer les mêmes,comme si ceux qui luttent depuis des décennies ont une disqualification congénitale à diriger le pays !!! Non professeur ,il faut que la majorité soit respectée. Pour cela table rase de tous les hommes du passé mêmes « integres » . Place à la démocratie ,là liberté et l’égalité Républicaines...