tu as tout dit@zelimkhan2 ! c'est connu, toujours c'est la même routine, malheureusement le peuple noir mauritanien ne se réveille pas et Dieu Seul Sait quand l'on se réveille.

Monsieur, il faudra toujours conditionner en disant"D’ailleurs, certains d’entre eux ont commencé à battre le rappel des troupes .Une histoire de montre au candidat du pouvoir qu’ils sont les maîtres incontestés de cette région, véritable grenier électoral", ils ne sont même pas maîtres de leurs enfants.Cette réunion dont vous faites allusions, ceux qui se sont rassemblés sont à quelques exceptions près, les (***) des régimes successifs. La preuve en est qu'ils fait des méa culpa, qu'ils n'étaient que des suivistes, et qu'ils n'étaient en rien capables. Dire qu'ils sont maîtres c'est continuer à insulter les autres

Ce candidat suivra les pas de Ould Abdel Aziz en pire. Il n'a pas hésiter selon infos non démenties qu'il était favorable à la violation de la constitution pour un 3e mandat. Il est est complice putschiste de O Abdel Aziz et cautionné toutes les politiques discriminatoires, d'exclusion, de génocide biométrique de son mentor qui l'a désigné candidat.

Comme si en Mauritanie la voix du peuple comptait ! Électorat négro-mauritanien ne veut rien dire mais plutôt une manière de faire croire que ces citoyens de seconde zone sont avec le système. La famille de Yaya Kane dont on parle ici tout comme certains égoïstes nègres appelant à soutenir le système ne roulent que pour leurs intérêts égoïstes et hypocrites jamais pour ceux des mauritaniens et de la Mauritanie.

Après avoir tout priver aux négros Mauritaniens, Ghazouwani peut oser être à la conquête leur electorat. Ce sera le même chemin que MED OULD ABDEL AZIZ du président des pauvres au plus riche du pays contre les pauvres. Des lycées miliataires pour une seule commauté, des écoles polytechniques et des bourses d'études exlusives à une seule communauté, MED OULD GHAZOUANI peut compter sur l'éclectorat des oprimés qu'il a oprimé.

Dites plutôt que ce bidasse va à la conquête des noirs mauritaniens qui ont vendu leur âme aux diable. Comment peut-on voter pour ce pékin qui a été un complice direct de tout ce que cette communauté noire a subi depuis des décennies. Arrêtons-nous sur une très courte période : 2008-2019 c’est du putsch Co-organisé par Ould Abdel Aziz et lui. Avez-vous une seule fois entendu un son de cloche venant de M. Ghazouani ? Point besoin d’un son de cloche différent de celui d’Aziz. S’est-il une seule fois insurgé contre les injustices pratiquées dans l’institution militaire ? A-t-il pipé mot contre le refus de recenser ses compatriotes noirs ? N’a-t-il pas soutenu la violation de la constitution ? S’est-il dressé contre la gabegie qu’il a dénoncée avec son compère ? A grâce ne nous parlé pas de conquête des Négromauritaniens. Ce que je puis dire à mes compatriotes, toutes ethnies confondues, c’est que nous sommes à la croisée des chemins. Si nous laissons ce bidasse accéder à la magistrature suprême (2019-2024) alors attendons-nous au retour d’Aziz pour 10 années de plus (2024-2034). Nous aurons vécu si Allah swt nous prête longue vie de 1978 à 2034 soit 56 ans (à 17 mois près Sidioca) sous le règne des bidasses dont 26 années sous « Ghaouaziz » A mes compatriote Négromauritaniens, saisissez cette opportunité par votre position de faiseur de roi. Notre pays doit changer et se tourner résolument vers des valeurs de justice, d’équité, d’éthique, de développement inclusif. Refusez de vous éparpiller, de monnayer votre voix et celle de vos parents pour un poste, une enveloppe ou un bien matériel (terrain, etc.) Battez-vous en pensant à vos enfants et petits-enfants qui, si les choses continuent à ce rythme, ne seront plus mauritaniens ou n’auront plus voix au chapitre. Je ne saurais finir sans rappeler la sagesse que l’on peut tirer du proverbe peulh qui dit : « ‘daminiido mayatt ko damal soudou kotoo » « Celui qui se nourrit d’espérance finit par mourir devant la porte de la chambre du menteur » A bon entendeur salut !

qu'il n'aille pas au guidimakha cela ne lui coûterait rien du tout;