@Kouleyb, je respecte ton avis, mais que Dieu en Garde à notre communauté noire mauritanienne, car elle aime la paix avec lâcheté, et n’ose pas réagir, donc ne fait pas cette comparaison avec les touareg du Mali, et les casamançais, qui eux, ont beaucoup plus de cœur braves et révoltés que nous, en plus, eux sont soudés ou unis, et c’est ça la différence de leurs forces avec notre faiblesse qui est notre lâcheté, en plus, ils ont des armes et nous, non ! sans parler que nous n’avons pas les moyens financiers pour combattre la communauté dominante, cependant, il y’a une et une seule arme fiable et puissante qu’Allah nous A Recommandé d’user entre nous humains, c’est (la solidarité), sinon dans le cas d’une désunion, c’est l’échec ; et c’est ce qui nous a touché comme malédiction dans cette Mauritanie, tu as parlé de la génération noire mauritanienne de demain, très intéressant à cogiter, ces descendants d’une Mauritanie future, nous inquiète avec les descendants des autres communautés, et l’on se demande si encore l’histoire se perpétuera avec la descendance de la communauté dominante, ainsi je comprends ton analyse, comme quoi, est ce que les futurs noirs mauritaniens ne feront pas comme ces peuples voisins rebelles que tu as cités ! je ne dirais pas que c’est faux, mais tout aussi dépend de la mentalité de ces futures générations mauritaniennes, car je crains comme tu crains biens qu’elles payent tous le prix cher des bêtises commises par leurs ancêtres actuels, c’est-à-dire nous ! Par ailleurs, au Mali, la vérité n’est pas agréable à entendre, mais le maestro mandingue d’ailleurs a tardé à dire ces vérités crues à son président IBK, plusieurs concitoyens devraient faire pareille en imitant l’artiste, oui IBK, doit partir, et c’est l’avis de tout le monde, car il n’est d’aucune utilité à son pays, par contre aussi, le fait de clacher sévèrement la France, va naturellement et évidemment bouillonner cette France qui se mêle des affaires africaines, et d’ailleurs depuis ses aïeuls, même si Salif a été durement franc, la France mérite ces propos.

Si une race, ou une communauté ethnique, demande plus de droits, ou, à défaut son autonomie administrative, s’expose au qualificatif de « terroriste », bien des voix devront se taire, pour laisser la parole aux…armes. C’est le cas actuellement des Touareg au Mali, c’est le cas des Casamançais au Sénégal, et ça pourrait devenir, demain, le cas des communautés négro-africaines en Mauritanie, selon l’analyse des FLAM et des FPC.