En politique, il faut toujours un perdant et j'ignorais que l'on pourrait souffrire. Oh, la politique! Une chanson dédié à la vie actuelle de ould Abdel Aziz.

Heureusement, on savait déjà que le ridicule ne tue pas en Mauritanie ! Aziz devrait avoir d'autres chats à fouetter par rapport à la honte qui le couvre en n'ayant été qu'un président de la gabegie de haute couture. Ce qu'il doit faire avec sa fortune c'est d'abord reprendre tous ces immeubles dont les grues sont arrêtées depuis son départ de la présidence. Cet arrêt des travaux, et, en même temps, en dit long sur la nature de leur propriétaire. Ghazouani doit maintenant l'obliger à rétrocéder tous les domaines de l'état frauduleusement usurpés par une bande très organisée.

Aziz ferait mieux pour son avenir et celui des siens ainsi que pour son gigantesque empire financier aux tentacules et ramifications difficiles à cerner en 10 ans de gouter au plaisir de retraite et de savoir que tout fait pas aggreverait son casier judiciaire et renforcerait l'étau mis autour de lui par le pouvoir Sans doute s'il s'était empeché de faire la première puis la seconde maladresse depuis son arrivée, ils auraient bénéficié de privilgèes et de respect à l'instar de ses predecesseurs et de ses fans qui se comptent par milliers En cherchant à faire le malin il est tombé sur plus malin sans arriver à comprendre qu'il lui est bénéfique de se retirer, de prendre son chapelet et s'isoler de la politique, la surveiller jusqu'au jour où des conseillers sincères jugeraient que l'aventure présidentielle pourrait être tenté sans risque