740 millions de MRO ! pour protéger les pâturages !même si l'environnement est précis et important pour la survie des êtres, en loccurence l'Homme, investir cette somme pour en particulier les pâturages, c'est bien, mais il y'a plus priorité sérieusement et franchement ! où est le chômage ? la pauvreté de la plupart certaines couches sociales ? et beaucoup d'autres domaines plus importantes, voilà encore de l'argent investie sans urgence, ce sont les sinistrés, y compris en particulier Rosso que ses habitants sont entrain de crier à l'aide au président ! etc... qui doivent être mis en priorité ! voilà encore une mauvaise gestion de nos dirigeants !

Les bons pâturages de cette année, du moins sur une partie du territoire national, doivent être rationnellement gérés. Certes il faut des pare-feux, des équipes de pompiers dotés de moyens de lutte anti-incendie, des équipes d’intervention contre l’invasion des criquets pèlerins mais surtout ce que jamais les autorités n’ont fait : mettre de l’eau potable à disposition du bétail et des bergers dans des citernes (bâches, cuves cimentées ou puits) dans toutes les zones à pâturages. Il est ridicule de voir des zones très bien dotées en bons pâturages et qui restent inaccessibles à cause de l’absence d’eau potable juste pour les hommes et quelquefois pour les animaux qui ne peuvent résister à la soif. L’esprit constructif nouveau doit encadrer, soigner et surveiller ce monde pastoral livré à lui-même… Par ailleurs, il est ridicule de laisser des navires de pêches à chaluts de fond racler le plateau continental (destruction des herbes et corail) en le transformant en désert, pour à la fin remonter des filets pleins de poissons qu’ils vont déverser dans l’océan et qui seront rejetés sur la cote sous-forme d’une marré blanche polluante et nauséabonde car ces navires font une pêche sélective. Ce poisson qu’ils déversent par-dessus-bord en millions de tonnes est vainement recherché par nos ménagères et nos usines. L’âge de la destruction des richesses de la Mauritanie doit s’arrêter, celui du vol de ses sous aussi… La Mauritanie continentale a souffert d’une désertification où l’homme a participé en coupant les arbres. La Mauritanie océanique souffre d’une désertification du fond de la mer par raclage des plantes et refuges à poisson du fait des chaluts de fond. Les caisses de la banque centrale souffrent d’une désertification due à une main de femme et ses complices…Ainsi va la Mauritanie.