30-04-2021 20:23 - Le ministre de l’Intérieur à Nouadhibou après la vague d’agressions et de meurtres qui a secoué la ville

Le ministre de l’Intérieur à Nouadhibou après la vague d’agressions et de meurtres qui a secoué la ville

Ce vendredi 30 avril, le ministre de l’intérieur et de la décentralisation Mohamed Salem Ould Merzoug, était à Nouadhibou, pour délivrer un message de fermeté après la vague d’agressions et de meurtres qui a secoué récemment la ville du nord du pays.

Lors d'une réunion, avec les autorités administratives régionales et qui regroupait des élus, des représentants d'organisations de la société civile et des partis politiques, le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, Mohamed Salem Ould Merzoug a affirmé la volonté de l’État d’assurer la sécurité et de protéger le citoyen sur la base de la nouvelle approche adoptée par les pouvoirs publics, a constaté un journaliste de l’AMI.

Selon le ministre, cette approche repose sur l’établissement d’un diagnostic précis des faits pour connaître la nature et le lieu des crimes perpétrés et des violations commises, et d’autre part, une évaluation des méthodes et des solutions retenues auparavant et leur impact réel.

« L’évaluation effectuée pour les six derniers mois montrait que les auteurs des crimes étaient des jeunes, étaient sous l'emprise de la drogue et avaient des antécédents judiciaires », a dit le ministre de l’intérieur et de la décentralisation.

Il y’a une semaine, deux personnes ont été tuées par des armes blanches lors d’opérations de vol.

Les familles des victimes ont reçu la visite du ministre de l'Intérieur et de la Décentralisation, Mohamed Salem Ould Merzoug, venu présenter au nom du chef de l’Etat, ses condoléances et sa compassion.

Babacar BAYE NDIAYE – Journaliste à Cridem

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Commentaires (1)

  • pingpong (H) 30/04/2021 22:09 X

    Les agresseurs sont souvent des enfants de personnes déshéritées victimes de l'exclusion systémique, qui se réveillent avec des ventres creux. Tu vis dans un pays ou il n'ya qu'une couche de population qui a, les autres sont exclus. Il faut s'attendre à long terme à des cartel du genre de sinaloa. Ce n'est que le début. Pour le moment les armes ne circulent pas, c'est juste une question de temps. Tout peut-être corrigé: La justice et l'égalité. C'est sociologique