Le premier à rendre son tablier devrait être le ministre de l'intérieur, déontologiquement parlant.

Ah oui le ministre ne semble pas mesurer la gravité de la situation.

L’état doit utiliser les gros moyens pour éradiquer cette criminalité grandissante et inquiétante. Le rappel de statistiques favorables par le ministre de l’intérieur peut être mal compris en cas de drame comme celui que nous vivons. Bien sûr certains milieux trouvent une occasion et font du tapage pour que le ministre quitte le poste et comme avant lui M.Yall qui avait occupé le poste de ministre de l’interieur. Heureusement que le président Ghazouani a envoyé les extrémistes promoteurs de la haine et de la division au chômage.Même si nous restons toujours sur notre faim. Ventre affamé n’a point d’oreille.

L'ère de la langue de bois est vaincue par l'instantané de l'information qui transforme chaque utilisateur de smartphone en journaliste, alors de grâce par respect à la mémoire des victimes, le silence doit être la règle.

Même si vous appelez un commissariat il est difficile de savoir ou vous êtes par manque de profilage des quartiers (pas d'adresse, pas d'identification de rue, pas de cartes...). l'une des solutions dans l'immédiat est de LEVER LE COUVRE FEU pour qu'il y ait circulation des personnes pour pouvoir se porter secours. Il faut savoir que ces délinquants n'opèrent pas dans leurs quartiers bien chez les autres.

Notre malheur est que nos gouvernants sont tjs satisfaits de n'importe quelle situation du pays alors que les citoyens devraient le faire à leur place malheureusement les faits sont là pour contredire les autorités chargées de la sécurité du citoyen et ses biens. C'est très facile de se déclarer satisfait dans ce pays où on assiste la plus des cas à des farces politiciennes. Les mauritaniens veulent du concret mais pas des discours à la longueur des journées alors les gens sont agressés voir tués dans les rues et ruelles de Nktt.

Monsieur Kane, une situation intérieure qui bégaie comme le premier policier de la Mauritanie avec des rattemants du moteur qui dégage du fumé et des chiffres d’échappement, c’est ce que nous avons constaté durant toute la promenade parlée de Ould Merzoug devant les journalistes qui avaient de cette fumée. Nous l’avons vu le lundi habillé en joueur matinal avec un pantalon sport devant le président de la république qui faisait une visite de ratissage des points déjà nettoyer à fond par les services de sécurités.

A chaque fois qu’un cadre est abattu, notre chère police se précipite à trouver un groupe de drogué qu’il montre aux cameras avec des discours comme ceci ; Nous les avons fait sortir de prison pour régler le compte d’un homme qui se dit intellectuel, sauf devant des drogués qui se tiennent à peine sur leurs jambes pour tuer un colos, voilà, nous avons identifié sans aucun effort les drogués que nous avons ramassés, dans des zones connues et ils sont d’accord de dire qu’ils sont les tueurs, et la police termine avec un réquisitoire arrangé entre deux partie.

C’est toujours la même chose, notre police est plus rapide de retrouver, les bandits qu’ils soient, voleurs, drogué, prostitués et autres, mais jamais avant l’acte quel que soit le crime. La question est de savoir, sont-ils les vrais assassins, qui a commandité ce crime parfait et les mobiles, si l’état ou son gouvernement ne sont pas capable de contrôler la situation, que le premier sache que bégayé à mouiller les micros ne règle rien, autant choisir la porte du ministère.