31-12-2022 01:51 - Plus d’un milliard d’ouguiyas pour assurer l’approvisionnement en eau potable de la ville de Boghé

Plus d’un milliard d’ouguiyas pour assurer l’approvisionnement en eau potable de la ville de Boghé

Sahara Médias - Le président mauritanien Mohamed O. Cheikh El Ghazouani a inauguré vendredi à Boghé un système d’approvisionnement en eau potable de cette ville grâce au traitement des eaux du fleuve.

Ce système est composé d’une station pour le traitement et de filtration des eaux du fleuve à raison de 210 M3/heure, une ligne électrique d’une puissance de 250KV, deux stations de pompage qui cumulent 280 M3/heure, des réserves de 500 M3 chacune et un réseau de canalisation long de 4 kilomètres et d’un diamètre de 400 mm.

Articles similaires Ce projet, qui va assurer les besoins de cette ville en eau potable, coûtera 1.200.000.000 MRO au budget de l’état.

Dans son discours à cette occasion, le ministre mauritanien de l’hydraulique et de l’assainissement, Sidi Mohamed O. Taleb Amar a dit que ce projet, financé sur le budget de l’état, va renforcer la production de l’eau dans la ville de Boghé, la disponibilisation de l’eau potable en quantité suffisante pour les habitants de Boghé, félicitant pour l’occasion l’armée nationale, représentée par le génie militaire pour son travail et sa détermination à exécuter ce projet conformément aux caractéristiques techniques demandées.





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Commentaires (1)

  • Buwuelm (H) 31/12/2022 03:43 X

    OK, j’ai divisé 1.200.000.000 par 10. Je trouve 120 millions et c’est la somme réelle en OUGUIYAS. Excusez-moi, mais je suis obligé de dire que je mets un terme aux rares visites que je réservais aux sites de l’Agence Mauritanienne d’Information et de Sahara Médias. Un des titres de ce dernier, est le suivant : « milliard 200 millions d'onces pour 1 alimenter Boki en eau potable du fleuve ». Tant que l’orientation de la section, qui est de droite à gauche (format arabe) n’est pas modifiée, la place des mots en français sera toujours perturbée. Leurs versions en français sont repoussantes, et la version arabe, je la leur laisse aussi. Leurs gestionnaires doivent comprendre, une fois pour toutes, que le mot « ONCES » est relatif au poids, et pas à la devise. Ensuite, la danse des mots est perceptible dans tous leurs textes. Il faut tout le temps, chercher à replacer certains termes, pour pouvoir comprendre le sens des messages. Cette fois-ci, le comble est que, les rédacteurs (francophones ?) n’ont même pas daigné écrire « BOGHÉ », un nom largement répandu. Ils lui ont préféré BOKI, à résonance plus arabisée. Alors même que la lettre « G » n’existe pas en arabe, ils ont opté pour un « K », considéré assimilé. Un grand merci à CRIDEM, pour avoir vu juste et rectifié.