Après une conférence de presse, tenue à Paris cette semaine, de menaces de prise de pouvoir par les armes, après le lâcher d'une bombe médiatique "mouillée" (une sorte de baroud d'honneur décalé) contre son ami de 40 ans dans une ultime prise de parole de O Abdel Aziz (dans son procès de sa décennie de corruption de détournements voire mafieuse), et depuis ce jeudi 30/11/2023,

c'est l'annonce de la création d'un front de lutte armée, qui vient d'être proclamé par un groupe de partisans de O Abdel Aziz, qui se fixe comme objectif de libérer le pays du pouvoir " dictatorial "du président Mohamed Cheikh O Ghazouani.

Si la libération du pays doit venir des partisans d'un président qui a pillé le pays sans scrupule avec telle violence pendant plus d'une décennie on est pas encore sorti de l'auberge, elle mettrait le pays plutôt dans le gouffre, dans un chaos indescriptible. Donc merci, on ne veut de cette libération.

Par contre ce qui est de plus en plus une certitude, face aux menaces multiples ( intérieures, sous- régionales et extérieures), chaque l'instant qui passe, chaque jour qui passe sans l'engagement concret du pouvoir ou du gouvernement dans la voie claire de l'apaisement concret par la prise des mesures urgentes qui favorisent l' unité et la concorde nationale, c'est un espace de temps offert aux ennemis ( terroristes, aux groupes mafieux) et aux extrémistes pour la déstabilisation du pays donc le conduire vers le gouffre, le chaos.

La mise en application concrète des différents points de la feuille de route du Pacte Républicain signé est une urgence ( malgré ses adversaires dans l'état profond), elle contribuera très fortement à favoriser l'unité et la concorde nationale et créera certainement un climat d'apaisement national sans précédent, et sans aucun doute mettra hors d'état de nuire toute tentative de saper l'unité nationale.

L'unité nationale étant le facteur essentiel et déterminant, garant contre toutes les menaces ( intérieures ou extérieures).

Marega Baba Assa.