Depuis une semaine, je guette le moindre signe relatif à ce cri de cœur émis par Mayel Diop (Mariem Diop ?), fondatrice de Kwass (KAWAS ?). Le nombre de « lus » a atteint les 6077 et est censé évoluer dans les minutes qui suivent. Ce qui laisse penser que les visiteurs de Cridem ont un intérêt particulier pour le cas présent. Seulement, rien ne prouve qu’une lueur d’espoir est perceptible. J’ai pensé un instant, qu’intervenir dans ce différend, est rendu d’autant plus difficile, qu’adresse mail, numéro de téléphone et lieu de siège de l’Entreprise, n’ont été fournis pour faciliter la tâche à ceux qui voudraient y voir clair. J’avais suggéré à Mayel de faire diffuser une copie du contrat qui la lie au Ministère des Sports, document renfermant plusieurs renseignements utiles, pour tout traitement de ce dossier. En effet, la valeur juridique de l’attestation qui figure au bas de l’article, est moindre que celle du contrat en bonne et due forme. J’espère que certaines personnes ont pu entamer des démarches sur l’affaire et qu’elles ne seront pas vaines. S’il y a un développement positif, Mariem ne doit pas nous laisser dans le doute. La vraie justice est au début et à la fin de toute chose.

Du courage conseour Mayel, du courage ! il faut être brave, dans ce pays, sinon, on devient, fou/folle, à cause, des injustices courantes et gratuites, que l'on voit, chaque jour, au quotidien ! bonne continuation et ne désespères pas ! ça ira !

Il est regrettable que cette sœur vive cette situation. Je considère que quatre années d'attente, c'est trop. Mayel Diop aurait dû réagir beaucoup plus tôt. J'ai remarqué une différence sur le nom de 《 l'equipementière 》. Deux denominations surgissent: KWASS et KAWAS. Cela pourrait être cause de litige. La plaignante devrait montrer le contrat pour voir ce qui est écrit réellement pour pouvoir trancher.