Alwiam - L’initiateur du projet tant souhaité de création d’un centre culturel mauritanien à Paris et du projet d’organisation d’un festival des artistes africains de la paix à Nouakchott Mohamed Mael Aïnine Nema Cherif Sidi Ethmane, a offert une toile à Son Excellence le Président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, à l’occasion de sa participation au dernier sommet de la Francophonie tenu en France du 3 au 5 octobre courant.

Autant le Président Ghazouani que la Première dame Dr Mariem Dah Fadel ne sont pas restés insensibles face à ce précieux cadeau et beau tableau peint par le talentueux artiste mauritanien, également cinéaste, photographe et ambassadeur autoproclamé de l’art contemporain dans la capitale française.

Un féru de la culture qui a œuvré toutes ces dernières décennies à promouvoir la culture mauritanienne auprès de l’UNESCO et à l’occasion des grands rendez-vous internationaux sur la culture africaine, maghrébine et ouest-africaine.

Mohamed Mael Aïnine Nema Cherif Sidi Ethmane a plein d’idées et de projets dans la tête, pour porter la culture mauritanienne à ses plus hauts niveaux en Europe. Toutefois, il a besoin du soutien de l’Etat mauritanien qu’il n’a cessé de sollicité depuis très longtemps pour concrétiser ses projets culturels qui ne manqueront pas d’avoir des retombées positives considérables sur sa chère Mauritanie.

Ce qui n’est pas difficile pour Mael Aïnine Nema en raison de son vaste réseau de connaissances notamment à l’UNESCO et auprès de plusieurs ambassades étrangères et institutions publiques et privées.

Livrant ses impressions sur les moments qui ont marqué l’offre de cette précieuse toile, l’artiste plasticien ne cache sa profonde satisfaction. Son Excellence le Président Ghazouani avait dit en se voyant offrir ce joyau : Ah, ça c’est important ! Etant président en exercice de l’Union Africaine, ces instants pourraient bien inspirer l’organisation d’un festival des artistes de la paix à Nouakchott, en une fin de mandat à la tête de l’organisation panafricaine caractérisée par un intense ballet diplomatique mené par Ghazouani pour fraterniser les frères libyens et soudanais.

L’artiste n’a pas manqué aussi de remercier vivement la Première dame pour l’attention accordée à son présent, en ordonnant à son protocole de prendre la toile et de l’apporter à Son Excellence Ghazouani, malgré un séjour surchargé en France.

Même les membres de la Délégation présidentielle, dont le ministre chargé du Cabinet du Président de la République Nani Chrougha et le ministre de l’économie et des finances Sid’Ahmed Ould Bouh, le ministre des affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Mauritaniens de l’Extérieur Mohamed Salem Merzoug ont tous été impressionnés par cette offre inédite d’une toile par un artiste plasticien mauritanien à un Président de son pays. C’est également le cas pour le directeur général du protocole d’Etat El Hacen Ould Ahmed et les autres membres de la délégation présidentielle.

Et pour clore cet « Irivi à Paris », il y a lieu de citer le travail de fourmi abattu par l’Ambassadeur mauritanien à Paris SEM Mohamed Yahya dit Daha Ould Teiss qui a été la cheville ouvrière et diplomate discret de l’éclatant succès du séjour de Son Excellence le Président de la République En France.

C’est par ailleurs l’unique diplomate mauritanien à l’étranger qui a dans son bureau une toile de l’artiste plasticien Mohamed Mael Aïnine Nema Cherif Sidi Ethmane.

Mohamed Mohamed Lemine