L’impunité qui a prévalu dans l’affaire TAAZOUR et le bradage du foncier de la zone cabanon à Nouadhibou par l’Autorité de la zone franche de Nouadhibou a bien ouvert la boîte de pandore pour le régime Ghazouany qui se débat, chaque jour, dans les scandales financiers. L’argent public est détourné au grand jour sans que les contribuables mauritaniens ne sachent qui en sont les auteurs. Les différentes enquêtes ouvertes pour déterminer les coupables ont été, souvent, sabotés par le gouvernement lui-même sous le regard ébahi d’un peuple meurtri. Le président Ghazouany , qui a juré de ne plus laisser personne s’enrichir impunément sur le dos des Mauritaniens, assiste aujourd’hui en spectateur au festival des brigands. Aujourd’hui, ces brigands sont nommés ambassadeurs, directeurs, ministres...Etc. Le pays va mal. j'ai pitié pour mon pays

Les seuls critères qui ont été pris en compte dans ce mouvement sont : colmater le départ des retraités par la satisfaction de revendications tribales primaires et inéquitables. Une fois encore, la compétence et l’expérience ont été sacrifiées sur l’autel du népotisme et du trafic d’influence. 20% des Ambassadeurs sont issus de l’Assaba (région du Président de la République et du MAE), 15% viennent du Brakna et du Hodh Gharbi. Le Trarza, l’Adrar et l’Inchiri sauvent la face avec une représentation acceptable. Le reste des régions sont les dindons de la farce avec une mention spéciale pour le Tiris Zemmour avec zéro Ambassadeur qui n’est pas considéré dans certains esprits mauritanienne. Si au moins les critères de compétences avaient été adoptés, ces pitoyables dosages tribalo-régionaux n’auraient attiré l’attention de personne.