EN BREF | #Cridem – L’Amicale des femmes de la SOEGO a célébré, lundi 10 mars 2025, la journée internationale des droits de la femme. Pour cette année, c’est la célèbre gynécologue Bal Aissata qui a été choisie pour animer la conférence.

Dans un mot de bienvenue, la présidente de l’Amicale des femmes de la SOGECO, Lamina Julien, a exprimé ses remerciements au directeur général de la SOGECO, M. Sidahmed Abeidna.

« Grâce à son soutien indéfectible, sa confiance et son financement, nous avons pu organiser cette célébration dans les meilleures conditions. Son engagement envers notre amicale et son souci constant de notre bien-être sont une véritable source de motivation . Nous le remercions chaleureusement pour sa générosité et son appui précieux », a-t-elle dit.

« Aujourd’hui, nous célébrons ensemble la Journée Internationale des Droits des Femmes, une journée qui nous rappelle à quel point la femme est un pilier fondamental de notre société, de notre entreprise et de nos familles. »

« En ce jour spécial, nous voulons mettre en avant la force, le courage et la détermination qui caractérisent chacune d’entre nous. Nous sommes des mères, des épouses, des sœurs, des collègues et des leaders. Nous jonglons avec de multiples responsabilités et relevons chaque défi avec résilience. »

« Nous croyons fermement que l’épanouissement des femmes est essentiel à la prospérité de notre entreprise et de notre communauté. C’est pourquoi nous continuerons à œuvrer pour un environnement plus équitable, où chaque femme a sa place et peut s’exprimer librement. »

De son côté, M. Sidahmed ABEIDNA, directeur général de la SOGECO, s’est dit heureux d’adresser ses vœux les plus sincères, en cette Journée mondiale de la femme.

M. Abeidna a salué le rôle primordial qu’assument les femmes au sein de la SOGECO et les énormes efforts qu’elles déploient, afin d'atteindre les objectifs de la société. Il s’est dit heureux que la SOCEGO accueille l’éminente gynécologue, Pr Bal Aissata.

Dans son exposé, Pr Bal Aissata a fait l’état des lieux des violences basées sur le genre (VGB) dans le monde, avant ensuite de s’appesantir sur l’évaluation des acquis en Mauritanie et surtout les obstacles structurels, politiques et culturels qui freinent l’accès des femmes aux soins de santé.

Par CRIDEM

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