10-04-2025 02:05 - Dahmane Ould Beyrouk nommé par le gouvernement wali du Guidimagha

Dahmane Ould Beyrouk nommé par le gouvernement wali du Guidimagha

ESSAHRAA - Le gouvernement a nommé au cours de sa réunion d'aujourd'hui mercredi Dahmane Ould Beyrouk au poste de Wali du Guidimagha.

Ould Beyrouk succèdera à ce poste au wali du Guidimakha suspendu de ses fonctions hier mardi suite aux récents événements survenus dans la ville de Sélibaby Ahmed Ould Mohamed Mahmoud Ould Deih.

Beyrouk occupait à la date de sa nomination, le poste de directeur général de la Synthèse, des Affaires Politiques et des Libertés Publiques, rappelle-t-on.

C'est le conseiller du ministre de l'Intérieur, El Bou Ould El Vadel qui a été désigné pour lui succéder à la tête de cette Direction.





Les articles, commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s) et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité


Commentaires : 2
Lus : 1967

Postez un commentaire

Charte des commentaires

A lire avant de commenter! Quelques dispositions pour rendre les débats passionnants sur Cridem :

Commentez pour enrichir : Le but des commentaires est d'instaurer des échanges enrichissants à partir des articles publiés sur Cridem.

Respectez vos interlocuteurs : Pour assurer des débats de qualité, un maître-mot: le respect des participants. Donnez à chacun le droit d'être en désaccord avec vous. Appuyez vos réponses sur des faits et des arguments, non sur des invectives.

Contenus illicites : Le contenu des commentaires ne doit pas contrevenir aux lois et réglementations en vigueur. Sont notamment illicites les propos racistes ou antisémites, diffamatoires ou injurieux, divulguant des informations relatives à la vie privée d'une personne, utilisant des oeuvres protégées par les droits d'auteur (textes, photos, vidéos...).

Cridem se réserve le droit de ne pas valider tout commentaire susceptible de contrevenir à la loi, ainsi que tout commentaire hors-sujet, promotionnel ou grossier. Merci pour votre participation à Cridem!

Les commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s) et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité.

Identification

Pour poster un commentaire il faut être membre .

Si vous avez déjà un accès membre .
Veuillez vous identifier sur la page d'accueil en haut à droite dans la partie IDENTIFICATION ou bien Cliquez ICI .

Vous n'êtes pas membre . Vous pouvez vous enregistrer gratuitement en Cliquant ICI .

En étant membre vous accèderez à TOUS les espaces de CRIDEM sans aucune restriction .

Commentaires (2)

  • DENONCEUR (H) 10/04/2025 23:36 X

    Monsieur le Wali,

    Il est impératif de vous faire part d’un problème récurrent qui sévit dans nos campagnes et qui, malheureusement, ne semble pas être traité avec la rigueur qu’il mérite. Ce problème oppose souvent les éleveurs et les agriculteurs, créant des tensions et des injustices, notamment en ce qui concerne la gestion des espaces agricoles et pastoraux. Il est temps que justice soit faite et que des solutions équitables soient mises en place.

    En effet, il semble que la tendance dans de nombreux cas soit systématiquement de donner raison aux éleveurs, notamment parce qu’on connaît leur statut et leur importance dans la société. Cependant, il ne faut pas que cela se fasse au détriment des agriculteurs, qui, eux aussi, ont des droits et méritent d’être protégés. Les éleveurs sont souvent privilégiés, et les agriculteurs sont lésés, sous prétexte de leur statut ou de leur situation.

    Imaginez la situation d’un pauvre agriculteur, qui passe une saison entière à débroussailler, défricher, labourer, semer, cultiver et surveiller son champ. Ce travail ardu, qui demande de la patience, de l’effort et de l’investissement, est sans cesse mis en péril par des incursions d’animaux (dromadaires, vaches, ovins, caprins) qui viennent détruire ses cultures et utiliser son champ comme un simple pâturage. Un champ qu’il a mis du temps à préparer, un travail qui représente souvent son unique source de revenu.

    Il est inadmissible que, dans de telles situations, le sort des agriculteurs soit toujours celui du perdant. Pourquoi faut-il que l’agriculteur soit toujours celui qui doive supporter les conséquences de ces intrusions, qu’il soit obligé de réparer les dégâts ou même de supporter le fardeau financier quand un animal meurt près de ses cultures, sans que la responsabilité du propriétaire de l’animal ne soit clairement établie ?

    Il est d’autant plus injuste que, selon les pratiques en vigueur, c’est généralement l’agriculteur qui se retrouve à payer pour les animaux morts aux abords de ses champs. Il n’a pas à prouver que l’animal a été tué par ses cultures, mais se voit contraint de couvrir des frais sans qu’aucune preuve ne vienne étayer cette accusation. Cette situation n'est ni juste ni équilibrée, et elle défavorise systématiquement les agriculteurs.

    En revanche, l’éleveur semble bénéficier d’une plus grande clémence, en grande partie en raison de son statut dans la société et de la reconnaissance de l’importance de son activité. Mais il est nécessaire de souligner que l'équité dans la gestion de ces situations ne doit pas dépendre des statuts sociaux ou des affiliations, mais plutôt du respect des droits de chaque individu et du respect des règles qui régissent ces secteurs.

    Il est donc crucial que des mesures concrètes et équitables soient prises pour résoudre cette situation.

  • pyranha (H) 10/04/2025 08:51 X

    Bonne chance Mr le Gouverneur.Merci de rendre visite à vos administrés à Selibabi pour voir l'état des lieux et avoir plus de renseignements sur cette affaire. Et essayer d'avoir partout des préfets et des FDS professionnels et non des ignorants.En somme vous entourer des citoyens compétents et professionnels ayant le sens de l'état. Bonne chance.