29-05-2008 09:48 - Evenements de Mai 68 à Zouerate

Evenements de Mai 68 à Zouerate

40 années se sont écoulés sur des évenements qui se sont produits dans la cité Miniere de Zouerate au Nord de la Mauritanie. Pour commemorer ces évenements tragiques de mai 1968, les anciens travailleurs expatriés et Mauritaniens de Miferma /Snim, témoignent sur un site internet . En voici des morceaux choisis

En faisant ce travail de collecte qui n’avait jamais été entrepris jusqu’à nos jours, nous apportons notre modeste contribution à l’histoire de la Mauritanie et de la Snim ex Miferma déclare en épilogue les auteurs de ce dossier, à savoir Jean-François Genet, Ely Salem Khayar et Patrick Wojtkowiak

Dès la première page des interrogation sont soulevées

Nous devions savoir, nous devions gratter et fouiller, car nous ne pouvons d'un côté déclarer à tous les anciens MIFERMA/SNIM de tous bords «ce site est le vôtre, celui de votre mémoire», et passer des faits sous silence sous prétexte qu'on rappellerait des mauvais souvenirs.

Omettre, est pire que censurer, c'est tout simplement mentir, se mentir, ce qui ouvre un autre débat: devons nous nécessairement tout dire? Pour moi, la réponse est oui, mais sans travestir, sans passion, relater simplement les faits tels qu'ils se sont produits. Seule concession l'écrêtement de propos trop violents.

Nous sommes encore dans la période mémorielle, profitons en, car dans seulement quelques années, quand viendra le temps de l'histoire, il faudra que la collecte soit engrangée pour pouvoir en tirer les enseignements nécessaires.

Interrogations

Au sein du n° 15 de Miferma Information en date du 15 décembre 1968, page 4, il est fait allusion aux événements de mai 68 à Zouérate de cette façon: «Après les événements du mois de mai, la production a repris son cours sensiblement normal...». Mais de quels événements s'agit-il? Aucune précision quant à leur nature.

Pourtant cette revue est un bulletin de liaison destinée uniquement au personnel de Miferma qui est, rappelons le, pluriethnique et se répartit sur deux sites. Pour preuve, après un tour d'horizon des installations et de la publication des résultats des tonnages produits, treize pages sont consacrées aux instances dirigeantes du pays et dix-neuf autres à différents sujets touchant la Mauritanie, soit les deux tiers de l'ouvrage

Le 17 juillet 2001, le congrès de la CGTM (Confédération générale des travailleurs de Mauritanie) prend « une résolution sur les martyrs du 29 mai 1968 à Zouérate, et demande que cette même journée devienne chômée, fériée et payée». L'article se poursuit en des termes forts, voire violents, puisque dénonçant «un massacre qui aurait été opéré pour répondre aux injonctions de la société néo-coloniale Miferma».

Une telle différence de traitement ne peut que nous interpeller.

Autre questionnement de ma part: présent sur place à Zouérate entre 73 et 77, je n'ai entendu parler de ces manifestations que très rarement, et en termes vagues, et ce, autant par les Européens que par les Mauritaniens. D'ailleurs je n'ai jamais su le nombre exact de victimes, ni même trop pourquoi et encore moins comment, seule, la réflexion qui me choquait «ils ont tiré dans le tas» m'est resté au fond de l'oreille.

Je n'ai jamais eu non plus l'attention attirée par un endroit mémorial tel une plaque commémorative comme dans nos villes métropolitaines, et pour cause, puisqu'il n'existe pas. Aucune place du souvenir, aucune rue du 29 mai, rien. Pourtant, plusieurs milliers de manifestants et neuf morts, ça doit frapper les esprits, ça se voit, ça s'entend, une rue ou place du 29 mai aurait pu leur être consacrée. Non, rien, juste une résolution trente-trois ans après....

Mohamed Ould Tajedine
nous déclare «que les évènements de mai 68 ont marqué les esprits mais ces faits sont presque oubliés de la mémoire collective et qu'ils sont rarement évoqués par les partis politiques»

A Ely Salem Khayar, j'avais précisé le sens de cette démarche en l'invitant à lancer cette opération sur place, je lui disait: « je crois qu'avec cet espace temps qui s'allonge indéfiniment, il est urgent de recueillir des témoignages. Il s'agit de la période la plus ancienne et les témoins se font rares. Il y a toujours eu un débat entre histoire et mémoire. Les historiens, mettant en doute l'oralité, l'ont dédaigné pendant trop longtemps, hors, aujourd'hui, ils s'empressent de courir après les derniers témoins.

Evidemment, point de doigts accusateurs, ou de diatribes vengeresses dans nos publications, il s'agit simplement de prendre acte pour que les générations futures puissent prendre conscience des efforts qu'il faut consentir et des épreuves qu'il faut traverser pour construire un pays, votre pays. Je vous invite donc à cette recherche qui me semble indispensable
». Mieux qu'une réponse à ma demande, Ely nous livre plusieurs témoignages poignants de travailleurs mauritaniens.

Certains membres de notre rédaction ont vécu ces événements, mais enfants à l'époque, leurs impressions, plus que leurs certitudes nous imposaient d'interroger des adultes. Contrairement à ce que je pensais, certains ont répondu présents, et ont souhaité s'exprimer sur ce sujet. Leur témoignage vient en contrepoint et donne un éclairage quelque peu différent sur ce que les Européens ont retenu de ces journées.

Autre question, cette répression sanglante était-elle nécessaire? Les manifestants marchaient-ils seulement vers la ville ou voulaient-ils casser du "Toubab" comme nous l'ont affirmé certains témoins? Voulaient-ils pénétrer dans les habitations de la cité qui leur paraissait un peu trop blanche?

Les origines du conflit


Dès les premières années suivant l’implantation de la Miferma, de nombreux conflits apparaissent. En 1965, de graves incidents ont lieu sur le siège de la mine de Tazadit. Sans rentrer dans les détails, il semble que le mépris affiché par «de petits blancs» (livre LMDF par P. Bonte) soit à l'origine d'une opération vengeresse qui fait six blessés graves. Soit dans les témoignages, soit dans les écrits, il est toujours dénoncé cette notion de maltraitance et de non respect des travailleurs mauritaniens.

Pour sa part, Michel Breda, arrivé en 1966, se souvient que ces événements lui ont été rapportés par la suite et «qu'ils ne sont pas forcément liés à ce qui ce passera trois ans plus tard puisque issus d'un confit personnel» (l'origine en reste obscure).

Mais ceux-ci, de part leur mode de vie et leurs traditions, non aucune culture industrielle et rejettent en partie, la convention d'établissement de 1959 qui guide jusqu'alors les rapports entre les deux communautés, ils y voient une méthode de commandement, prolongeant de manière déguisée, l'occupation coloniale française. Néanmoins,

Le 15 Juillet 1965 sur demande du syndicat national, l’Union des travailleurs de Mauritanie (UTM) basé à Nouakchott, une convention collective du travail est promulguée incluant diverses primes et des plans de carrière. La Miferma en profite pour encourager les travailleurs à tout donner d’eux-mêmes afin de mieux la servir.

Ely Salem Khayar nous livre quelques données: «A Zouerate les rapports entre personnel expatrié à majorité Européenne de Miferma et les travailleurs Mauritaniens étaient déjà très parallèles. Les premiers imposaient une culture fondée sur l’individualisme, la rigueur, l’organisation, le matérialisme et la propreté, les seconds se voulaient bien attachés aux grands espaces de liberté , simplicité, spiritualité et modestie . Deux communautés se côtoient à Zouerate, sans se toucher.»

Il s'appelle Sidi O. Zegued, il est embauché le 23 Novembre 1966, voici ce qu’il raconte à propos de cette époque. « Je travaillais à la gare ferroviaire de Tazadit. Les N’çara (Européens), étaient très arrogants. Certains d’entre eux tapaient souvent de fois les Mauritaniens».

En France, sur ce chapitre, les choses en sont encore au moyen âge, on y voit aussi des travailleurs transportés dans les bennes des camions. Au sein des ateliers et des usines, les mots grossiers pleuvent sur les travailleurs immigrés, surtout ceux d'origine de Nord-Afrique, sûrement les métastases du conflit algérien qui vient de se terminer il y a peu. Pourtant, à la différence de ce qui se passe en métropole, la Miferma est relativement sévère vis-à-vis des gestes racistes émanant des expatriés et les reconduites à l'avion sont nombreuses.

Malgré cette tension persistante dans les rapports entre personnels, la Miferma avance dans son projet et les objectifs sont pratiquement toujours atteints. N'est-ce point là aussi une source de conflit, la société n'était-elle pas trop exigeante et la pression exercée sur sa maîtrise européenne ne s'est-elle point reportée au niveau du terrain? N'était-ce pas la fatigue qui en faisait craquer plus d'un?

«Sur les chantiers les hommes s’usaient en forçant leurs nerfs et physiques à supporter des conditions très austéres. Plus le temps passait, plus la pression sur eux grandissait et plus leurs mentalités évoluaient.» nous déclare Ely Salem Khayar.

Pour sa part, Michel Lemardeley nous livre quelques données des horaires pratiqués au sein de son service «trop de temps passé sur les chantiers, le total des heures pouvait allègrement dépasser les deux cent cinquante à trois cent heures dans le mois.»

Pour preuve aussi, selon Pierre Bonte (LMDF), le turn-over important chez les expatriés de Zouérate: un quart des expatriés sont présents depuis moins de deux ans; les deux tiers depuis moins de quatre ans! Il décèle chez les expatriés un malaise persistant mais qui s'exprimé de manière confuse.

Autre source de conflit


«La cité des N’çara coquette et propre juxtaposait une cité Africaine grise et terne. Les habitants de celle-là par crainte des chiens ne fréquentaient pas ceux de celle-ci. Ceux de celle là, en raison du milieu insalubre n’osaient pas se rendre chez les autres. Les Mauritaniens qui se sentaient pourtant chez eux, donc propriétaires des lieux et des richesses, enviaient ces toubabs venus d’ailleurs pour les déposséder de leurs biens» relate Ely Salem.

On avait voulu une cité idéale, mais encore une fois, ce ne sont pas les architectes et les urbanistes qui font les villes, ce sont leurs habitants, ce sont eux qui s'approprient l'endroit, ce sont eux qui décident s’ils se fréquentent, se disent bonjour, s'évitent ou se jalousent. Le manque de logements est criant.

Pour des problèmes liés au mode de vie des Mauritaniens (voir plus haut) les architectes n'avaient point prévu qu'un bidonville naîtrait à proximité de la ville. La ville de tentes qu'aperçoit Mohamed Ould Tajedine, en arrivant à Zouérate en 1963 du fond de son Berlier T46 (voir son éditorial) à vite fait place à "la cité BP"

Pour les autochtones on ne permet pas de casse croûte à la petite pose d’une demi-heure. Interdiction de faire du thé sur chantier. Pas de logement. Les primes de compensation de l’habitat ne sont que 1000 FCFA (200 ouguiyas)/mois pour les célibataires et 3600 FCFA (720 UM) pour un père de plus de 3 enfants. Les Mauritaniens les mieux payés percevaient mensuellement 50.000FCFA (10.000 UM) .

Bien évidemment, les Européens passent pour des nantis et le soir autour du thé, à la périphérie de la ville, plus d'une discussion tourne autour de leur statut, oubliant leur rôle principal, faire tourner les installations et accessoirement leur rôle de formateur.

On évoque leurs logements, on compare les salaires, on dénonce des avantages léonins... c'est un peu le bruit de la monnaie contre le froissement des billets! Ces théories pernicieuses sont habilement distillées par les émissaires des différentes vagues léninistes marxistes ou maoïstes qui avaient échangé le Coran pour le petit livre rouge de Mao.

Chaque fois qu'Ely Salem passait à Zouerate, il remarquait malgré son jeune âge, la haine qui habitait certains de ses parents pour les Toubabs. Le mouvement naissant des Kadihines agissait ainsi en sous-main et se montrait diablement efficace dénonçant systématiquement la Miferma comme un Etat dans l'Etat et la présentant comme une excroissance de l'économie française..... De fait, de part ses actionnaires et son fonctionnement, la société aurait été bien en peine de prouver le contraire.

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NDLR: Ainsi sur 29 pages, s'étend le récit de ces jours dramatiques. Voici un extrait des témoignages touchant le 29 mai.


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Le drame

Alors qu'on abordait la troisième semaine de grève, un drame éclate, l'armée tire à balles réelles en direction de la foule... Voici quelques témoignages d'instants qui nous paraissent encore confus aujourd'hui, faute de témoins et de précisions. Aussi c'est avec toutes les précautions nécessaires et au conditionnel que nous vous les livrons "bruts de fonderie".

Sidi Ould Mouloud: Un jour les tirs ne sont plus comme les précédents. Ce jour là un travailleur est tombé. On crut qu’il était évanoui. Les femmes qui étaient là lui versèrent un seau d’eau. Il n’a pas bronché. On vit qu’il a reçu une balle réelle dans le bas ventre. Ça c’était devant le club gazelle actuel. Au même moment on crie sur un autre travailleur tué net derrière la clinique. Il y a des autres morts et blessés.

Salek Ould Allaf: Le jour par exemple de la tuerie, je courais derrière des plus grands que moi qui étaient rassemblés sur le petit mont qui surplombe les services généraux là où il y’a les châteaux d’eau. Il semble qu’ils voulaient faire des sabotages. Quand il y a des cris des parents sont venus en vitesse me ramener en ville. Les gens demandaient des augmentations et des postes qu’ils méritent

Sidi Ould Zegued
: Apres 15 jours d’arrêt de travail et de blocus au niveau du point (dénommé Canal de Suez) à l’entrée Sud de Zouerate, les militaires ont tiré des balles réelles sur les rassemblements. Neuf personnes sont mortes sur le champ.

Le lendemain Doudou Fall (actuellement président de la fédération des pêches à Nouadhibou) préfet de Zouerate et autres autorités militaires et civiles ont rassemblé tous les travailleurs. Ils leur ont demandé : ceux qui veulent monter au travail se mettent de ce coté ; Ceux qui ne le sont pas se mettent de l’autre. La quasi-totalité des travailleurs ont repris le boulot ».

Michel Breda: Les premiers jours ont été assez calmes , et tout a commencé à se gâter lorsque les manifestants ont essayé de sauter les murs pour rentrer dans les villas. Là, l'armée a tiré. Si mes souvenirs sont exacts il y a eu 8 morts du côté des grévistes dont un qui travaillait à la manutention et qui s'appelait " Mami". Le lundi suivant le travail a repris normalement, expatriés et locaux étions tous au boulot, sauf "Mami" !

Ely Salem Khayar: Quinze jours se sont écoulés depuis le déclenchement de la grève. Ordre est donné le 29 Mai 1968 aux militaires pour mettre fin à cette situation de face à face devenue intenable. Des balles réelles sont tirées sur la foule. Le bilan est lourd : 9 personnes sont tombées en martyrs.

Gilles Aubry: Nos parents minimisaient la gravité de la situation pour ne pas nous inquiéter, mais quand à 8 ans tu vois des soldats tirer sur des gens que tu croises tous les jours, tu comprends malgré tout qu'on ne joue plus aux cow-boys et aux indiens. Nous étions en famille chez Michel Vidal quand la rumeur d'une manifestation nous a attiré dehors dans le jardin pour apercevoir un car de la mine mis à mal par une foule dont les cris étaient couverts par les youyous des femmes près de la station BP.

Un moment après, alors que tout semblait s'être calmé, nous avons décidé de rentrer chez nous, à deux pas de l'autre côté de la place, au 77. C'est en sortant de chez Michel qu'un coup de feu claqua. Un militaire, noir comme la plupart de ceux que j'ai pu voir, ce détail si c'en est un m'avait frappé comme s'il s'agissait d'une armée d'occupation dans un autre pays, venait de tirer en direction de la ruelle. Juste devant l'entrée, un genou à terre, son arme pointée vers un groupe que je ne pouvais pas distinguer, il nous ordonna de rentrer. C'est le seul moment où j'ai eu la frousse.

dossier réalisé par Jean-François Genet et Ely Salem Khayar


En ENCADRE : et le film aussi.

Réalisateur de film de profession, Patrick Wojtkowiak avait 12 ans, et lorsque, à l’époque, il parlait à ses petits camarades français de la Mauritanie, cela leur paraissait lointain et abstrait. Il paraissait être un extra-terrestre descendu d’une autre planète. Aucune imagination permettait de visualiser ce que représentait cette ville chimérique perdue au milieu du Sahara répondant au nom si exotique de Zouérate.

C’est dans le dessein d’expliquer et de montrer que l’on pouvait vivre ailleurs et autrement qu'il filme avec sa petite caméra Instamatic Kodak Super 8, et en fait un petit film amateur.

Aujourd’hui ce film a valeur de mémoire. il présente, à travers le regard de l’enfant qu'il était, son bout du monde. Là où une poignée de Français rêvant d’aventure avaient choisi de vivre. Toutefois, Patrick nous déclare «Je regrette seulement de n’avoir pas plus filmé le monde Mauritanien qui nous côtoyait»

Aujourd'hui, le cinéaste amateur à laissé la place à un vrai professionnel du cinéma qui compte plus de 800 réalisations à son actif. Le regard est tout autre, il sent qu'il a manqué une partie de l'histoire. Aussi il entreprend de réécrire cette histoire au travers de deux destins individuels: Souleymane, le berger qui deviendra mineur et Simon, le mineur lorrain, venu tenter l'aventure

Mais il lui manquait toute la mémoire vive. Celle des témoignages, des photographies, des films amateurs, de tous ceux, petits et grands, Français et Mauritaniens qui ont écrit l’histoire de la MIFERMA et de la SNIM, et qui pourraient faire revivre l’écho de cette formidable aventure humaine et industrielle qui, en France, est tombée dans l’oubli... sauf pour ceux qui l’ont partagé. Il est donc partit en chasse pour retrouver des témoins.

Dans cette aventure, Internet va se montrer son allié le plus performant. r. Il crée donc un site dont la vocation est multiple : retrouver la trace de tous les anciens, adultes et enfants de l’époque de la MIFERMA - SNIM et des amis de ZOUERATE perdus de vue; reconstituer un annuaire multi-époque de Zouérate, un formidable carnet d’adresses; favoriser un lieu de rencontre et d’échange.

Ce site est né le 19 mai 2007 et vient donc de fêter sa première année d'existence. Ce site est devenu une banque d’archives. Remis à jour mensuellement par une équipe que Patrick Wojkowiak a su fidéliser, le site connaît un développement spectaculaire et de nombreux Mauritaniens viennent y faire un tour, mieux, ils collaborent.....

http://www.zouerate.com/

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Zouérate.com

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