11-03-2014 01:22 - La FSPL renouvelle ses instances, le mercredi prochain

La FSPL  renouvelle ses instances, le mercredi prochain

Le Calame - La fédération des services et professions libérales (FSPL) du patronat mauritanien présidée aujourd’hui par Mohamed Waled, procédera, le mercredi, 12 mars, au renouvellement de ses instances, ceci au cours d’une assemblée générale ordinaire.

Cette jeune fédération dont le mandat arrive à son terme, s’est fortement illustrée durant sa mandature. Elle a à son actif l’organisation de deux importants salons de l’emploi, en 2012 et 2013.

Ces deux événements qui ont fait drainer un grand monde des entreprises privées et publiques du pays, des jeunes porteurs de projets et/ou à la recherche de l’emploi, des partenaires aux développements, furent l’occasion de poser sur la table la problématique de l’emploi des jeunes diplômés.

Ces éditions sont intervenues après la tenue d’une journée de concertation entre les partenaires publics et privés. Une occasion de peaufiner une stratégie pour contribuer à résorber le chômage des jeunes.

La FSPL a fait donc sienne la problématique de l’emploi des jeunes mauritaniens diplômés chômeurs, elle leur a offert, non seulement, l’opportunité de se rencontrer, d’échanger autour de la question du chômage avec les potentiels employeurs, mais aussi, celle de valoir leurs capacités d’entreprendre, pour ne pas attendre tout de l’état.

Enfin plus récemment, la FSPL a répondu à l’appel citoyen du peuple mauritanien en faveur de son équipe nationale en débloquant un montant d’un million d’Ouguiyas.




Les articles, commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s) et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité



Commentaires : 1
Lus : 2120

Postez un commentaire

Charte des commentaires

A lire avant de commenter! Quelques dispositions pour rendre les débats passionnants sur Cridem :

Commentez pour enrichir : Le but des commentaires est d'instaurer des échanges enrichissants à partir des articles publiés sur Cridem.

Respectez vos interlocuteurs : Pour assurer des débats de qualité, un maître-mot: le respect des participants. Donnez à chacun le droit d'être en désaccord avec vous. Appuyez vos réponses sur des faits et des arguments, non sur des invectives.

Contenus illicites : Le contenu des commentaires ne doit pas contrevenir aux lois et réglementations en vigueur. Sont notamment illicites les propos racistes ou antisémites, diffamatoires ou injurieux, divulguant des informations relatives à la vie privée d'une personne, utilisant des oeuvres protégées par les droits d'auteur (textes, photos, vidéos...).

Cridem se réserve le droit de ne pas valider tout commentaire susceptible de contrevenir à la loi, ainsi que tout commentaire hors-sujet, promotionnel ou grossier. Merci pour votre participation à Cridem!

Les commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s) et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité.

Identification

Pour poster un commentaire il faut être membre .

Si vous avez déjà un accès membre .
Veuillez vous identifier sur la page d'accueil en haut à droite dans la partie IDENTIFICATION ou bien Cliquez ICI .

Vous n'êtes pas membre . Vous pouvez vous enregistrer gratuitement en Cliquant ICI .

En étant membre vous accèderez à TOUS les espaces de CRIDEM sans aucune restriction .

Commentaires (1)

  • eyquem (H) 11/03/2014 10:09 X

    Ah, cette belle jeunesse qui nous a tant fait rêver, ces apparatchiks du système, qui ont "pu" ouvrir ces organisations patronales à tous les entrepreneurs qui le désiraient, leur façon à eux d’assurer la relève de leurs illustres pères, des Sidi Mohamed Abbass (yarehmou), Ezizi Ould Mami, Abdellahi Ould Noueigued (yarehmou), Chriv Ould Abdellahi, Mohamed Saleh Ould Hamad (yarehmou), Haji (yarehmou) ….

    Une jeunesse qui a fait son propre chemin, via l’AJEM – Association des Jeunes Entrepreneurs de Mauritanie – et surement d’autres organisations, en sortant des sentiers bâtis et en initiant des nouvelles méthodes d’entrepreneuriat.

    Ahmed Baba Ezizi, Mohamed Waled, Chbih Ahmed Saleck …. Et des dizaines d’autres chefs d’entreprises, aussi, méritant les uns que les autres. En toute dignité, respect, grandeur …. Sans jamais s’arrêter sur les détails inutiles, loin des fortunes héritées ou usurpées, ou pire encore les richesses aux origines illicites.

    Une classe d’hommes d’affaires qui devra inspirer nos jeunes entrepreneurs d’aujourd’hui, afin de comprendre que seul le travail paye, et que l’argent facile (l’argent volé, l’argent sale) n’est pas une sinécure.