Taqadoumy -- Sidi Ould Tah, ancien président de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique et candidat à la présidence de la Banque africaine de développement, a réaffirmé son engagement à œuvrer pour le développement du continent africain à travers l’autonomisation des jeunes et des femmes, ainsi qu’une croissance inclusive fondée sur une exploitation optimale des ressources naturelles et humaines.

Dans une interview accordée dimanche à la radio Okapi, Ould Tah a expliqué que sa vision pour la Banque africaine de développement repose sur la création de millions d’emplois indispensables au continent, et sur le développement des économies africaines par la transformation structurelle et la valorisation locale des produits.

Il a souligné que ses dix années d’expérience à la tête de la BADEA, ainsi que ses fonctions antérieures dans les secteurs financier et gouvernemental en Mauritanie, lui ont permis d’acquérir une compréhension approfondie des défis du développement en Afrique et des besoins de ses populations.

S’il est élu, Ould Tah promet de concentrer son action sur plusieurs axes clés : transformer la croissance démographique en une force productive, soutenir les petites et moyennes entreprises, renforcer le secteur privé, développer les infrastructures, améliorer le climat des affaires, et faciliter la libre circulation des personnes et des biens sur le continent.

Sidi Ould Tah, ancien président de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique et candidat à la présidence de la Banque africaine de développement, a réaffirmé son engagement à œuvrer pour le développement du continent africain à travers l’autonomisation des jeunes et des femmes, ainsi qu’une croissance inclusive fondée sur une exploitation optimale des ressources naturelles et humaines.

Dans une interview accordée dimanche à la radio Okapi, Ould Tah a expliqué que sa vision pour la Banque africaine de développement repose sur la création de millions d’emplois indispensables au continent, et sur le développement des économies africaines par la transformation structurelle et la valorisation locale des produits.

Il a souligné que ses dix années d’expérience à la tête de la BADEA, ainsi que ses fonctions antérieures dans les secteurs financier et gouvernemental en Mauritanie, lui ont permis d’acquérir une compréhension approfondie des défis du développement en Afrique et des besoins de ses populations.

S’il est élu, Ould Tah promet de concentrer son action sur plusieurs axes clés : transformer la croissance démographique en une force productive, soutenir les petites et moyennes entreprises, renforcer le secteur privé, développer les infrastructures, améliorer le climat des affaires, et faciliter la libre circulation des personnes et des biens sur le continent.