08-08-2025 07:00 - Le niveau de production de la station de Beni Naaji est à 75% de sa capacité maximale (Ministère)

Le niveau de production de la station de Beni Naaji est à 75% de sa capacité maximale (Ministère)

AMI - Le ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement a confirmé que ses équipes techniques ont réussi, mercredi soir (6 août 2025), à mettre en service deux unités supplémentaires dans le cadre de la mise en service progressive de la nouvelle usine de désenvasement de Beni Naaji, notant que la mise en service des deux premières unités de cette station a commencé le mardi (5 août 2025).

Le ministère a déclaré, dans un communiqué, que les premiers résultats ont montré une amélioration significative dans la réduction du pourcentage de limon et l’augmentation du niveau de production, atteignant la capacité de production actuelle à environ 75% de la capacité maximale du système, soulignant que le processus de mise en service progressive de cette installation vitale se poursuivra.

Il a considéré que la mise en service de cette installation représente une solution radicale au problème du limon qui a affecté la production d’eau potable des installations d’Aftout Sahli.





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Commentaires (3)

  • clean clean (H) 08/08/2025 15:07 X

    On nous vend fièrement que la production d’eau atteint 75 % de la capacité totale. Mais sur le terrain, des quartiers entiers restent à sec. Pourquoi ? Parce qu’on joue aux apprentis sorciers avec les vannes : on ouvre pour certains, on ferme pour d’autres. Ce n’est pas un accident, c’est une manœuvre délibérée. C’est de la discrimination pure et simple dans l’accès à l’eau. On choisit qui boit et qui attend, qui se lave et qui se débrouille. Pendant que quelques privilégiés ont l’eau à flot, d’autres enchaînent les jours de pénurie, les bidons à la main. L’eau n’est pas un luxe ni un cadeau : c’est un droit. Ici, on la traite comme une faveur qu’on accorde ou qu’on retire selon des intérêts obscurs. Ce système de vannes à géométrie variable est le symbole d’une gestion inégalitaire, injuste et indigne d’une ville qui se dit moderne.

  • clean clean (H) 08/08/2025 15:06 X

    Malgré les déclarations officielles triomphantes annonçant que la production d’eau a atteint 75 % de la capacité globale, une grande partie de la ville reste encore sèche. La raison est évidente : on joue avec les vannes. On ferme ici, on ouvre là, pour diriger l’eau vers certains quartiers en laissant les autres se débrouiller. Ce n’est pas un problème technique, c’est un choix. Cette gestion à deux vitesses est une discrimination flagrante dans l’accès à une ressource vitale. On prive délibérément une partie de la population pour en avantager une autre. Pendant que certains remplissent leurs réservoirs, d’autres passent des jours entiers sans une goutte au robinet. L’eau n’est pas un privilège à distribuer selon l’humeur ou les intérêts ; c’est un droit fondamental. Or, ce système de vannes sélectives ne fait que creuser les inégalités et mettre en lumière une politique injuste, opaque et méprisante à l’égard des habitants laissés-pour-compte.

  • clean clean (H) 08/08/2025 10:07 X

    Si la production d’eau est remontée à 75 %, mais que certains quartiers n’ont toujours pas d’eau au robinet, ce n’est pas seulement une question de quantité produite, mais aussi de répartition et de pression dans le réseau. La répartition des quantités d’eau est inéquitable et discriminatoire. Par un jeu de vanne, l’eau est repartie de manière inéquitable , lésant certaines localités.