Nous allons faire savoir aux extremistes arabes et au partisan de l'arabité de la mauritanie, que nous sommes pas arabes, et n'allons pas être arabe, ne voulons pas être arabe?. Mais le système utilise sa force systématique pour imposer l'arabe aux non arabe. Et savoir si le français est une langue étrangère pour eux, l'arabe et le français sont des langues étrangères pour les peuls, wolofs et soninké. EN conclusion nous ne voulons pas cette langue d'exclusion et extremiste.

Monsieur Kane, Il est regrettable de constater que certains se présentant comme arabophones ne maîtrisent pas l'arabe littéraire. Ils s'expriment principalement en hassaniya, un dialecte national certes proche de l'arabe, mais distinct.

Cependant, s'attarder sur ces détails linguistiques n'est pas productif. Je suis convaincu qu'une véritable ouverture d'esprit passe par le multilinguisme. En effet, la maîtrise d'une seule langue limite considérablement nos horizons culturels et intellectuels. (Celui qui ne parle qu’une seule langue est un illettré)

Encourageons plutôt l'apprentissage de diverses langues pour favoriser la compréhension mutuelle et l'enrichissement personnel. C'est par cette diversité linguistique que nous pourrons véritablement nous épanouir et progresser ensemble.

Monsieur Kane, Le choix de langue du ministre n'est pas le véritable enjeu ici. Les trafiquants de drogue, quelle que soit leur origine, causent des dommages considérables à notre société. Il est crucial de se concentrer sur la lutte contre ce fléau plutôt que de créer des divisions entre communautés.

Les produits dangereux vendus par ces réseaux affectent toutes les communautés sans distinction. Plutôt que de chercher à détourner l'attention ou à créer des conflits, nous devrions unir nos efforts pour combattre ce problème commun qui menace la santé et la sécurité de tous. Concentrons-nous sur des solutions concrètes et une coopération intercommunautaire pour éradiquer ce trafic néfaste, au lieu d'alimenter des tensions inutiles.

La population mauritanienne est pleinement consciente de la situation actuelle. Les citoyens constatent que la prospérité du pays est entachée de controverses et de souffrances humaines. Les cercles non officiels évoquent la présence de substances illicites, évitant d'aborder directement la question du trafic de drogue. Pourtant, la Mauritanie se positionne juste derrière la Colombie et les principaux cartels asiatiques dans ce domaine. Il serait plus judicieux d'affronter ouvertement ce problème majeur plutôt que de se focaliser sur des aspects secondaires.

L'administration fonctionne en français, mais certains refusent d'utiliser ou même d'écouter cette langue internationale. Cette attitude risque de marginaliser le pays sur la scène mondiale, malgré le niveau d'éducation de sa population. Il est temps de cesser de percevoir l'usage des langues internationales comme une menace à la souveraineté nationale, si tant est qu'elle subsiste encore. La drogue est le seule ennemi de la république, pas langue française et les langues Nationale.