L'info en continu

Cridem Culture - Ouverture ce week-end du Festival du Cinéma Africain de Khouribga, au Maroc. Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, ce rendez-vous cinématographique qui se tient du 09 au 16 septembre 2017 est à sa 20ème édition qui coïncide avec le 40ème anniversaire du Festival (1977 – 2017).

Les cinéphiles auront droit à 14 films, représentant 14 pays africains, en lice pour le Grand prix Ousmane Sembene.

Il s’agit de : Félicité d’Alain Gomis (Sénégal), Le train de sel et de sucre de Licinio Azevedo (Mozambique), Les enfants de la montagne de Priscilla Anany (Ghana), L’orage africain de Sylvestre Amoussou (Bénin), Wulù de Daouda Coulibaby (Mali), Good luck Algeria de Farid Bentoumi (Algérie), Kalushi de Mandla Dube (Afrique du Sud), Frontières d’Apolline Traoré (Burkina Faso), Solim de Steven AF (Togo), N.G.O (Nothing going on) d’ Arnold Aganze (Ouganda), Hedi de Mohamed Ben Attia (Tunisie), Black Belgian de Jean Luc Habyarimana (Rwanda), Hayate de Raouf Sabbahi (Maroc) et Un jour pour les femmes de Kamla Abu Zekri (Egypte).

CIPINA - De gauche à droite, Mme Francine Viret du comité de Cinémas d'Afrique, M. Cheikh Tidiane Diouwara, Directeur exécutif du CIPINA, M. Grégoire Junod, Syndic de Lausanne, M. Harouna Traoré, chargé d'affaires à la mission permanente de la Mauritanie à Genève et M. Philippe Cordier, membre du comité d'organisation du festival

La 12ème édition du festival Cinémas d'Afrique de Lausanne, organisée en partenariat avec l’association CIPINA, s’est déroulée du 17 au 20 août dernier dans la capitale mondiale de l’olympisme. Plusieurs grands réalisateurs du continent y étaient invités.

Les autorités politiques suisses étaient également présentes dont le Syndic de Lausanne, M. Grégoire Junod qui rentrait tout juste d’une visite en Mauritanie. A noter que le cinéma mauritanien était au coeur de cette édition avec la diffusion de plusieurs films.

Le Reflet - Du 23 au 27 juillet 2017, Nouakchott a vibré au rythme du cinéma. La douzième édition du festival international de film, Nouakshort, s’est déroulée à l’ancienne maison des jeunes. Trois grandes compétitions (nationale, internationale et documentaire) ont eu lieu lors de cette édition.

Le prix de la catégorie film national tombe entre les mains de Moussa Diko, pour son film TALVIZION. Pendant une semaine, le festival international de film, Nouakshort a accueilli du monde. Dans la grande salle de l’ancienne maison de jeunes, plus de trente films ont été projetés sur l’écran géant.

Pour le public, cela a été l’occasion de se distraire et de découvrir des jeunes talents du cinéma national. Pour le jury, un moment de mesurer la valeur exacte de chacune des œuvres cinématographiques.

RFI - Les derniers jours d’une ville, du réalisateur égyptien Tamer El Saïd, a obtenu le Grand Prix du Festival des trois continents, à Nantes.

Ce film, dont le tournage s’est achevé en décembre 2010, quelques mois avant la révolution de la place Tahrir, sort ce mercredi 28 juin dans les salles françaises.

Les derniers jours d’une ville dessine le portrait collectif d’un pays au bord du chaos. Son héros, Khalid, a la trentaine, sa petite amie l’a quitté, et il n’arrive pas à terminer le scénario de son nouveau film.

Studio Holpac - Studio HOLPAC Sarl et l’Association ACIM (Association des Cinéastes Indépendants en Mauritanie) se sont joints à la plus grande projection communautaire de l’histoire!

Projection du film documentaire Sembene! Pour les date du 9, 10 et le 11 juin 2017 dans trois (3) lieu différentes (la salle de Cinéma Jamie RAVETZ, Espace Culturelle Diadié Tabara Camara et les Echos du Sahel).

Salle Cinéma Jamie RAVETZ, Espace Culturelle « Diadié Tabara Camara » et Echos du Sahel, en partenariat avec plus de 50 institutions à travers l’Afrique, vous apporte l’histoire d’Ousmane Sembene, “le père du cinéma africain” qui a passé des décennies à créer une nouvelle vision du cinéma, pour une Afrique nouvellement indépendante.

Mondafrique - Ce que le cinéaste Abderrahmane Sissako dont le film "Timbuktu" passe ce mercredi soir sur Arte ne dit jamais, c'est qu'il est le discret "conseiller culturel" d'un médiocre dictateur en Mauritanie.

Sans même entrer dans les qualités supposées d’un film juste ennuyeux, bourré de clichés et qui donne du drame malien des images léchées et sans contextualisation, il faut rappeler qui est vraiment l’auteur de l’œuvre, Abderrahmane Sissako. Toujours paré d’une chemise blanche immaculée et largement ouverte, ce BHL des dunes n’est cinéaste qu’à ses heures perdues.

Ce qui le nourrit ces dernières années, ce sont ses fonctions de conseiller « culturel » attitré du président Mohamed Ould Abdel Aziz, le chef d’État mauritanien qui a imposé à son peuple une médiocre dictature de sous-préfecture, en faisant main basse sur les richesses de son pays.

Cridem Culture - Les rideaux sont tombés vendredi 21 avril sur la quatrième édition des Cinémas des frontières, avec la projection du film "La pirogue" du réalisateur sénégalais, Moussa Touré, qui évoque l’immigration clandestine.

Un film également à charge contre les impopulaires politiques économiques et sociales des pays africains, et qui lève le coin du voile sur les motivations des jeunes immigrés, face à la précarité, à la pauvreté et à l’absence d’emploi. Le film sorti en 2012 est toujours d’actualité.

"Quand on est jeune, la chose la plus importante, c’est devenir, être quelqu’un. C’est quoi devenir quelqu’un pour un jeune : c’est finir les études, de pouvoir être fonctionnaire, avoir une maison et pouvoir nourrir une famille, des choses simples de la vie, les plus élémentaires. On n’a pas besoin d’aller très loin. Les jeunes migrent pour toutes ces raisons", a dit le réalisateur sénégalais, lors d’un échange avec le public, à la fin de la projection de son film.

IFM - « Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout. » Jean-Luc Godard

Et si on parlait du cinéma des pays frontaliers à la Mauritanie ? Cinq pays à l’honneur, 4 réalisateurs invités, 3 jours de projections, des débats et des rencontres…

LE PROGRAMME

MERCREDI 19 AVRIL • 18H30

• EL DJINN, de Yasmina Chouikh – Algérie – 2010 – 20 min
Synopsis : A sa puberté AMBER a trois jours pour échapper au DJINN qui hante son village, mais sa rencontre avec AMEL va tout bouleverser.

RMI Info - Tourad Kane est un acteur et réalisateur mauritanien qui vit à Gant en Belgique. Il à entamé sa carrière par le théâtre, art qu’il affectionne toujours avant de venir au cinéma.

Tourad a d’abord commencé par faire de la figuration, avant de décrocher ensuite un véritable rôle dans SOMER en 2016. Film qui a reçu un bon accueil et a contribué à la notoriété de Tourad Kane dans le milieu cinématographique en Belgique.

La même année Tourad Kane passe derrière la caméra et propose en décembre son premier film documentaire intitulé « les jeunes les plus engagés de la Mauritanie ». Que cache ce titre provocateur derrière son superlatif ? Tourad Kane répond à nos questions.

Studio Holpac - Le mardi 21 mars 2017 à 11h, une mission de l’ambassade des États-Unis à Nouakchott était en visite dans les nouveaux locaux de Studio HOLPAC situé à la Cité Plage.

La délégation de l’ambassade des États-Unis à Nouakchott était composée de Mme Pease Kimberly, nouvelle Attachée des Affaires Culturelles et de Mr Babaly SY, chargé des Programmes d’échanges Culturels et Académiques du département Public Affair Section.

A leur arrivée, ils ont été accueillis par Mr LY Hamet Oumar, Directeur Général (Réalisateur – Producteur – Formateur), son équipe et Mr Mamadou GUEYE Grand Journaliste de la Télévision de la Mauritanie à la retraite.

Studio Holpac - Date début des inscriptions : 17 mars 2017

Début des cours : 06 avril 2017

Plus d’informations, contactez :

Mlle Miamouna Fall, coordinatrice des ateliers

Tél. : 44 24 78 10 / 31 05 23 22

E-mail : studioholpac@gmail.com

Bureau : 00 222 45 29 40 48

Romandie News - Le film sénégalais "Félicité" d'Alain Gomis a remporté samedi l'Etalon d'or du 25e Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco).

Le film d'Alain Gomis, réalisateur déjà récompensé en 2013 avec Tey, raconte la difficile vie d'une chanteuse de bar à Kinshasa. Il a obtenu il y a deux semaines le Grand prix du jury de la Berlinale.

"C'est un grand honneur de recevoir ce trophée pour la deuxième fois", a déclaré Alain Gomis en recevant son prix avant de remercier toute son équipe.

BBC Afrique- La 25 ème édition du FESPACO, le festival panafricain du cinéma de Ouagadougou s'ouvre samedi. Pendant 8 jours le Burkina Faso abritera la plus grande compétions de films africains avec à la clé le prestigieux étalon d'or du Yennenga.

Les réalisateurs expérimentés vont croiser les jeunes talents et les débutants plein d'espoir. Le FESPACO c'est d'abord des rencontres des échanges et des formations.

La complétion reste un temps fort du festival. Les récompenses sont d'autant plus prisées que les places sont de plus en plus chères. L'organisation a reçu prêt de 1000 films. Au bout du compte 150 seront projetés. Seule une vingtaine de longs métrages ont été sélectionnés pour l'étalon d'or.

Jeune Afrique - L'unique film africain en compétition à la Berlinale, "Félicité", portrait d'une chanteuse de bar à Kinshasa se battant pour son fils, a remporté samedi le Grand prix du Jury.

« C’est un film sur nous, le peuple, nous sommes beaux, nous pouvons aimer ce que nous sommes », a lancé lors de la remise du prix son réalisateur, le franco-sénégalais Alain Gomis, déjà venu à Berlin en 2012 avec le remarqué « Tey » (« Aujourd’hui).

Dans « Félicité », son quatrième film, il brosse le portrait d’une mère courageuse, qui après son boulot de chanteuse dans un bar tente le tout pour le tout pour amasser la somme nécessaire à l’opération de son fils victime d’un accident.

Le Quotidien de Nouakchott - Timbuktu sera-t-il projeté à Kaedi, ville située a 400 kilomètres au sud de Nouakchott?

C’est la question que tous les adhérents de l’AFMK (alliance franco-mauritanienne de Kaédi) et autres cinéphiles se posent après l’arrêt de la procédure de demande d’autorisation pour la projection du film TiMBUKTU‚ introduite par la direction de l’Alliance auprès des autorités administratives locales.

Alors que le Hakem avait donné son accord pour la projection et que l’autorisation se trouvait au commissariat de Kaédi‚ le directeur de l’AFMK a été convoqué hier à la mi-journée par le wali du Gorgol qui lui aurait demandé de lui transmettre la liste nominative des organisateurs de cette activité et d’adresser une demande d’autorisation pour la projection de TiMBUKTU à Kaédi‚ auprès du ministère de l’intérieur.

M21 - Il y a un an notre compatriote, basé à Paris, Lemine Ould Mohamed Salem, spécialiste mondialement reconnu des groupes jihadistes du Sahel et du Maghreb sortait un film "Salafistes" qui a fait une vive polémique en France. La célèbre émission Arrêt sur Images dirigée par le journaliste Daniel Schneiderman avait alors consacré une enquête sur ce film qui rappelle a bien des égards un autre succès mauritanien Timbuktu d'Abderrahmane Sissako.

L'article démontre les emprunts flagrants de Sissako au travail de son jeune compatriote et s'étonne du silence de Sissako sur ces emprunts. Sans Lemine Ould M.Salem, Timbuktu n'aurait pourtant pas été Timbuktu résume cette enquête, édifiante.

Lemine Ould M. Salem l'homme derrière le succès de Sissako

Lemine Ould Salem, le journaliste dont les images ont inspiré un film césarisé...

Il était la "petite main" derrière Timbuktu, celui dont le travail a été utilisé sans être reconnu.

M21 - L'Association des cinéastes mauritaniens qui tenait samedi 14 janvier son assemblée générale au centre culturel de la Communauté Urbaine de Nouakchott a élu un nouveau bureau dont la composition est la suivante:

président: Ahmed Salem Deida

vices présidents:

Cheikh Habeib

Marièm Bérouk

Secrétaire Général: Salem Dendou

Rmi info - Le réalisateur mauritanien Tourad Kane, basé à Gent en Belgique et d’origine du département Ould Yengé, Mauritanie, propose un film intitulé « Les jeunes les plus engagés de la Mauritanie ».
Un reportage d’une heure qui retrace le quotidien de quatre jeunes engagés dans divers domaines. Les jeunes les plus vues par leurs actions et leurs présences continues sur tous les fronts, on peut dire « les incontournables !» selon lui.

Oumou KANE, présidente de l’association AMAM y est aperçu au côté de Tabara Guaye, avec qui elle travaille en collaboration dans le domaine sportif. AMAM, crée en 2011 et officiellement en 2012 association multiculturelle pour un avenir meilleur investit dans différents domaines du développement.

Rimweb - Le 9 janvier dernier, à l’Institut Français de Mauritanie (IFM) s’est tenue la 1e projection du court métrage de Medina N’Diaye, photographe, et créatrice de bijoux.

Un film qui revient sur le parcours de Fatou Niang footballeuse au club « Camara » et qui explique le quotidien de « femmes joueuses de foot qui rêvent de concilier foot, familles et société dans une parfaite harmonie » confie Médina Ndiaye, également amoureuse du foot.

Une occasion pour cette réalisatrice de plaider : « la société ne nous reconnaît pas comme footballeuses, alors nous existons mais sous estimés », elle qui a réalisé cette production sur fonds propre. Elle espère en faire un long métrage, en cas de soutien.

Produit par Dialaw Production, le court-métrage L’ami d’enfance a été projeté samedi 10 décembre au Champ Libre de Nouakchott, dans le quartier de Tévragh-Zeina.

La projection a réuni des amis, anonymes, les principaux acteurs du film, réalisé par le jeune Habib Ba qui vient enrichir la filmographie mauritanienne. Le film voit enfin le jour, après une année de tournage, dans des conditions un peu éprouvantes, pour le réalisateur et les acteurs.

L’ami d’Enfance, qui évoque en filigrane la question de la délinquance juvénile, fera l’objet d’autres projections à Nouakchott et à l’intérieur du pays, a assuré son réalisateur, Habib Ba, qui a lancé un appel à soutenir les jeunes porteurs d’initiatives notamment dans le domaine culturel et artistique.