02-09-2025 16:54 - Présidence de la Republique: Nomination de Jemal Yedali, président de l’Instance nationale de lutte contre la corruption

Présidence de la Republique: Nomination de Jemal Yedali, président de l’Instance nationale de lutte contre la corruption

La Dépêche - Dans un communiqué dont copie est parvenu à « La Dépêche de Mauritanie », la Présidence de la République informe, par décret, la nomination de Jemal Mohamed Yadali, Président de l’Instance nationale de lutte contre la corruption.

Jemal Yedali, figure politique de la majorité, fut ancien président de la Haute cour de Justice et ex président du groupe parlementaire UPR (devenu Insaf).





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Commentaires (4)

  • moukhabarat (F) 02/09/2025 23:48 X

    La plupart des corrompus sont réfugiés dans ce parti-Etat pour échapper aux poursuites...

  • Hartaniya Firilile (H) 02/09/2025 19:23 X

    La nomination à la présidence immédiatement après un retour d'un mois de vacances révèle l'ampleur préoccupante de la corruption, désormais profondément ancrée dans notre système. Une société qui se vante du "courage" d'avoir détourné des fonds publics constitue un phénomène particulièrement alarmant. Ce responsable pourrait utiliser sa popularité pour mettre un terme aux troubles orchestrés par les partisans de Ghazouani et Ould Ndiaye depuis l'arrivée de ce dernier au pouvoir. La situation s'est gravement détériorée, transformant l'arène politique en une compétition tribale qui fracture profondément la société mauritanienne.

  • Hartaniya Firilile (H) 02/09/2025 19:23 X

    Jemal fait face à un défi considérable pour rétablir l'ordre dans ce pays où l'administration Ghazouani aurait, selon certains, causé plus de dommages que les 20 années sous Taya et la décennie d'Aziz. Le président lui-même semble stupéfait par l'état désastreux des finances publiques et par les nombreux projets d'infrastructure abandonnés ou mal exécutés. Dans tous les secteurs, le tribalisme et le régionalisme ont profondément infiltré la gestion des affaires publiques et administratives, résultant en une gouvernance déficiente ou motivée principalement par des intérêts personnels.

  • Hartaniya Firilile (H) 02/09/2025 19:23 X

    Si Monsieur Gemal avait pris en charge l'affaire Aziz et son gouvernement, la seule issue pour Ghazouani serait d'engager sa propre action contre les détourneurs de fonds publics. Il devrait les incarcérer avant son départ, ce qui pourrait lui éviter la prison et un procès défavorable. Il devrait donner carte blanche à ce monsieur pour enquêter sur les malversations et la corruption dans les institutions étatiques où certaines familles dirigent des services entiers - on y trouve père, fils, épouse, enfants et beaux-parents dans la même direction, gérant les biens de l'État selon leur bon vouloir. Cette situation est apparue avec l'arrivée d'Ould N'Diaye, premier responsable du gaspillage administratif. Tous ceux qu'il a recrutés participent à ces détournements via des bons de commande et l'achat de matériel défectueux de piètre qualité. La corruption dissimulée représente un danger plus grand que celle qui est visible, car elle se perpétue en cercle familial