03-09-2025 11:58 - Ould Louly nie toute implication de GTI dans des marchés publics

Ould Louly nie toute implication de GTI dans des marchés publics

SHEMS MAARIF - Le ministre de l’Autonomisation des jeunes, Mohamed Abdellah Ould Louly, a nié toute implication de la société GTI dans des marchés publics depuis sa nomination au gouvernement.

Lors d’un point de presse organisé ce soir, le ministre a affirmé qu’il n’avait autorisé aucune participation de l’entreprise qu’il dirigeait auparavant à des appels d’offres publics en Mauritanie. Il a ajouté que la société en question concentre désormais l’essentiel de ses activités à l’étranger.

Bien qu’il ne détienne pas 50 % des parts de l’entreprise, Ould Louly assure avoir empêché toute tentative de sa part d’intégrer des procédures de passation de marchés dans le secteur public depuis son entrée au gouvernement.





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Commentaires (2)

  • clean clean (H) 03/09/2025 13:36 X

    Il en va de même pour ces applications inutiles qui encombrent les téléphones, avec leurs codes interminables à retenir, sans véritable impact sur le bien-être des citoyens. Elles sont conçues sans tenir compte de la fracture numérique, de l’accès aux réseaux ou des moyens nécessaires pour se connecter. Au final, elles servent surtout à remplir les poches des prestataires de services numériques, au détriment de la qualité. Le foisonnement de ces applications liberticides est excessif et ne vise souvent qu’à attribuer des marchés publics pour des services rendus de manière médiocre.

  • clean clean (H) 03/09/2025 13:31 X

    Comme aux temps des razzias, l’« homo maurus » contemporain reste un prédateur — mais raffiné. Hier, il volait les biens d’autrui par la violence ; aujourd’hui, il s’empare des biens publics avec la bénédiction des institutions qu’il gangrène de l’intérieur. Ce n’est plus le sabre, mais le stylo, le contrat, la complicité silencieuse des élites. Les milliards injectés pour résoudre la crise de l’eau à Nouakchott ? Évaporés comme l’eau qu’ils promettaient. Les budgets alloués à la santé, à l’éducation ? Dévorés par des réseaux de prédateurs bien organisés, transformés en villas cossues, bolides européens, et mariages tapageurs. Poussé par une société où le prestige matrimonial supplante toute éthique, l’homme aspire moins à servir qu’à se servir. Il parade dans ses habits neufs sur les ruines d’écoles vides et d’hôpitaux sans matériel, pendant que le peuple, épuisé, regarde ailleurs ou applaudit, résigné ou complice. La corruption n’est plus un dysfonctionnement : elle est devenue le mode de gouvernance. Une razzia moderne, subtile, légalisée par l’impunité et normalisée par l’habitude.