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Le Calame -- Le palais des congrès a abrité, ce samedi 15 février, la première du film documentaire sur la vie et l’œuvre de Ceerno Souleymane Bal et la révolution du Fouta de 1776. Une occasion pour de nombreux mauritaniens venus de tous les coins de la capitale, de découvrir le fondateur de la première république théocratique sur les rives droite et gauche du fleuve Sénégal qui, pour les riverains, n’a jamais constitué une frontière entre la Mauritanie et le Sénégal. En cela, l’homme constitue un trait d’union entre leurs peuples. L’occasion est offerte par l’association pour la renaissance de l’œuvre de Thierno Souleymane Ball, AMRO-CSB en collaboration avec SUBA Film et la Fondation Nacer Eddine pour la culture et le développement.
Sahara Médias -- Le conseil d’administration du Festival international du cinéma africain de Khouribga au Maroc a annoncé le choix de la Mauritanie comme invité d’honneur de la prochaine édition du festival, prévue du 21 au 28 juin 2025. Cette annonce a été faite lors d’une session ordinaire du conseil d’administration de la Fondation du Festival de Khouribga au cours de laquelle les rapports littéraire et financier pour l’année 2024 ont été approuvés. Le directeur du festival, Azzedine Keriran, a indiqué que le festival, qui a atteint sa maturité, aspire à continuer à s’affirmer en tant que plateforme incontournable pour la promotion du cinéma africain, à renforcer sa mission en tant qu’espace de formation pour les étudiants marocains et africains, et à jouer pleinement son rôle dans la diplomatie parallèle.
Sahara Médias -- Le film mauritanien « Ebouk Ala Al Arjah »… a reçu hier une mention spéciale du jury de la compétition de courts métrages lors de la 14e édition du Festival du film africain de Louxor, en Égypte, mardi. Le film a été projeté le premier jour du festival et a reçu un accueil critique et public important et concouru pour le Grand Prix des courts métrages de fiction, parmi quatorze concurrents de différents pays arabes et africains. Réalisé par les frères Sidi Mohamed et Taieb Tolba, et produit par Dar Mauritania, le film a été présenté pour la première fois en Allemagne en mai dernier au Festival international du film d’Oberhausen, le plus ancien festival de courts métrages au monde, la première participation mauritanienne depuis trente ans, où le film a remporté le prix d’encouragement du festival.
Sahara Médias - Le Festival international du film du Maghreb, qui se tient dans la ville marocaine d’Oujda, a honoré le réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako, ainsi que d’autres personnalités qui ont marqué le monde du cinéma et de la culture. Abderrahmane Sisako s’est réjoui de cet honneur et a déclaré que la ville d’Oujda est un exemple vivant de multiculturalisme et reflète la diversité distinctive du Maroc, qu’il a décrit comme « un pays riche de sa diversité et de ses différences culturelles ». Pendant le festival, le réalisateur mauritanien a présenté une master class sur des sujets liés à l’industrie cinématographique.
VOA Afrique - Le Festival de Nouakchott illumine le cinéma mauritanien. La deuxième édition du Festival international du film de Nouakchott s’est achevée samedi, réunissant des participants de 18 pays et donnant un nouvel élan au cinéma mauritanien. Le premier prix a été attribué au film “Les Lueurs d’Aden (The Burdened)” du réalisateur yéménite Amr Gamal.
L'Authentique - La 2ème édition du Festival International du Film de Nouakchott a été close durant la soirée du samedi 26 octobre 2024 par la distribution des prix aux lauréats vainqueurs des compétitions dans les différentes catégories cinématographiques, suivi des discours de clôture. Les participants se sont donné rendez-vous pour la prochaine édition en 2025. La 2ème édition du Festival International du Film de Nouakchott a baissé ses rideaux samedi 26 octobre 2024 tôt dans la soirée au Parc de l’OMVS en plein cœur de la capitale mauritanienne, Nouakchott. Au total, le jury des différentes catégories en compétition ainsi que le public de Nouakchott ont visionné quelques 35 films issus de 18 pays en cinq jours, durée du festival, lancé le 22 octobre au même lieu sous une présence officielle très relevée.
Le360 Afrique - Le coup d’envoi de la deuxième édition du Festival international du film de Nouakchott, qui se déroule du 22 au 26 octobre 2024, a été donné en présence de hauts responsables et d’acteurs du 7ème art venus des pays de la sous-région. Focus sur la participation marocaine. C’est parti pour la seconde édition du Festival international du film de Nouakchott (FIFN) qui se déroule du 22 au 26 octobre 2024. Au programme de la manifestation, un total de 16 films et 13 cinéastes issus de différents pays du Maghreb, d’Afrique subsaharienne et d’autres régions. À cette occasion, Houssein Meddou, ministre de la Culture et des Arts, chargé des relations avec le Parlement, a mis en exergue l’importance de l’événement à travers sa dimension culturelle nationale, sous-régionale et internationale et son apport pour le développement des métiers du cinéma chez les jeunes Mauritaniens.
Future Afrique - Alors que les préparatifs vont bon train en prélude à l’ouverture officielle de la 2ème édition du Festival International du Film de Nouakchott, ce mardi 22 octobre 2024, un groupe d’experts échangent sur le cinéma dans un autre espace contigu à celui réservé aux spectacles. Mardi 22 octobre 2024. Le Parc de l’OMVS, situé en plein cœur de Nouakchott, connaît l’effervescence des grands jours de spectacle. Les affiches qui tapissent l’entrée et les pourtours de l’espace sont d’ores et déjà édifiants et les passants se rendent vite compte qu’il s’agit de cinéma, et plus précisément du lancement officiel de la 2ème édition du Festival International du Film de Nouakchott.
L'Authentique - En conférence de presse au Centre culturel de la Région de Nouakchott, lundi 14 octobre 2024, le directeur du Festival international de Nouakchott, Mohamed Moustapha El Ban dit Sadam, s’est réjoui, entre autres bonnes nouvelles, de l’inscription de son évènement dans la liste de l’Union des festivals du cinéma arabe. C’était en présence du représentant du Conseil régional et d’un parterre de journalistes. Prévu du 22 au 26 octobre courant, le compte à rebours de la 2ème édition du Festival International du Film de Nouakchott (FIFN) a démarré lundi 14 octobre par une conférence de presse de lancement au Centre Culturel de la Région de Nouakchott. Ouvrant les travaux de la conférence de presse, le conseiller de la Présidente du Conseil Régional de Nouakchott, Abderrahmane Babbah, a dit tout l’intérêt que son institution attache à un évènement culturel d’une telle envergure qu’est le FIFN. Il a exprimé la volonté de la Région à poursuivre son soutien à une telle manifestation avec l’appui d’autres institution et partenaires.
La deuxième édition du « Festival International du Film de Nouakchott » aura lieu du 22 au 26 octobre 2024. Cette édition a été précédée par le lancement d’un volet professionnel qui a débuté par des ateliers de formation dans le domaine du cinéma. Ces « Ateliers du Nord » ont profité à 79 jeunes issus des Wilayas de Dakhlet-Nouadhibou, Tiris Zemmour, Adrar et Inchiri. Chaque atelier a duré cinq jours, conclu par la réalisation d'un court métrage qui participera au concours « Films d'atelier ». Certains parmi ceux qui ont participé à ces cours bénéficieront d'une « Master Class » encadrée par des réalisateurs professionnels. Le festival organisera plusieurs compétitions durant cette édition, dont la plus importante est celle concernant les films longs métrages qui verra la participation de cinq films représentant cinq pays : le Soudan avec « Goodbye Julia », la Jordanie avec « Inchallah, un garçon », le Yémen avec « Les Epuisés », l’Arabie Saoudite avec « Noura » et enfin, le Maroc avec la « Coupe d'Amour ».
Sahara Médias - Le Festival international du film de Nouakchott a annoncé lundi la participation de 16 films représentant 13 pays à la deuxième édition du festival, qui se tiendra le 22 octobre. La compétition des longs métrages comprendra cinq films, représentant les pays suivants : Maroc (Kass El Mehaba), Soudan (Wedaan Juliana), Jordanie (Incha Allah Weled), et “Noura” de l’Arabie Saoudite Arabie Saoudite et Yémen : Maroc, Soudan, Jordanie, Arabie Saoudite et Yémen : Cup of Love » du Maroc, “Goodbye Julia” du Soudan, “Inshallah is Born” de la Jordanie et “Noura” de l’Arabie Saoudite. En ce qui concerne la compétition des courts métrages, 11 films représentant les pays suivants ont été présentés : Mauritanie, Maroc, Algérie, Tunisie, Libye, Côte d’Ivoire, Egypte, Syrie, Irak et EAU.
APS - Le film "Black Tea", présenté, samedi, en avant-première à Dakar, évoque l’Afrique d’une autre façon, un continent qui veut des rapports d’égalité, a dit son réalisateur, le Mauritanien Abderrahmane Sissako. "Il était important de montrer un continent qui veut l’égalité", a-t-il soutenu, lors d’une conférence de presse au cinéma Pathé. Cette romance dramatique d’1heure 46 minutes, tournée à Taiwan après "un rejet de la Chine", mais aussi en Côte d’Ivoire et au Cap-Vert est avant tout une rencontre humaine entre l’Afrique et la Chine à travers l’histoire d’amour entre l’Ivoirienne Aya et le Chinois Gai.
Sahara Medias - Une formation sur « l’ABC du cinéma » a débuté à Zouerate, dans le Tiris Zemour, au nord de la Mauritanie, au profit d’un certain nombre de jeunes actifs dans le domaine culturel, en prévision de la deuxième édition du Festival international du film de Nouakchott. Ce stage, s’inscrit dans le cadre d’une série d’ateliers organisés par le festival, en partenariat avec l’Institut National des Arts, appelés « Ateliers du Nord », pour préparer la deuxième édition du festival prévue en octobre prochain. Les participants à ces ateliers bénéficieront de cours sur les bases de l’écriture et du tournage d’un film, et chaque atelier se terminera par le tournage d’un court métrage réalisé par les participants au cours.
Onde Info - J’ai lu les TDRs du projet de film documentaire sur l’Empire du Ghana (Wagadu) dont le commanditaire est le Ministère de la Culture, de la jeunesse, des Sports et des Relations avec le Parlement. Les protestations de la communauté Soninké sont plus que légitimes. En effet, lorsque vous parcourez le document, il y a quand-même quelques curiosités qui présagent d’une volonté d’orienter le documentaire, en mettant en exergue des éléments historiques généraux au détriment des aspects singuliers, authentiques et propres à une communauté historiquement, politiquement et géographiquement définie et connue. Premier constat : Le nom Wagadou n’apparaît nulle part dans les termes de références (TDR s) du film documentaire. Or, l’empire de Wagadou est l’appellation consacrée et authentique des fondateurs.
Sahara Médias - Le film mauritanien « Most Likely Your Father » a obtenu le prix de l’encouragement promotionnel lors de la 70e édition du Festival international du court métrage d’Oberhausen, en Allemagne. Le film était concourait pour le Grand Prix de la compétition internationale du festival, aux côtés de 40 autres films du monde entier, y compris d’Afrique et du monde arabe. Le film, qui a été présenté en première au festival d’Oberhausen en Allemagne, a été réalisé par les frères Taieb Ould Tolba et Sidi Mohamed Ould Tolba.
APS - Le réalisateur mauritanien, Abderrahmane Sissako, a déclaré, vendredi, à Dakar, ne pas filmer des héros, mais plutôt "la fragilité humaine, les gens courageux et les valeurs". "Dans mon cinéma, je ne filme pas des héros, je filme la fragilité humaine, les valeurs, les gens courageux, parce que moi je ne le suis pas vraiment. Je suis impressionné par ces gens et parfois je me retrouve en eux", a-t-il dit au terme d’un Master class qu’il a animé, dans le cadre de la sixième édition du festival Films Femmes Afrique (26 avril au 10 mai). "Ce sont des gens rencontrés çà et là au quotidien et que l’on ignore peut-être, qui peuvent nous inspirer à réaliser nos meilleurs films. Quand on veut en faire, il ne faut pas chercher loin. Il suffit juste de regarder autour de soi ceux que l’on côtoie. Il faut être très attentif être muni d’une grande volonté", a-t-il conseillé aux jeunes réalisateurs avec qui il a longuement échangé.
Radio France - Léa Salamé reçoit le cinéaste et producteur mauritanien Abderrahmane Sissako à l'occasion de la sortie en salles de « Black Tea », le 28 février. Le voyage est au cœur du nouveau film d'Abderrahmane Sissako, Black Tea, qu'il a présenté la semaine dernière à la Berlinale. C'est son grand retour, dix ans après le succès retentissant, critique et populaire de Timbuktu qui avait remporté sept César, dont le Meilleur film et le Meilleur réalisateur. Black Tea est un film doux et mélancolique, sensuel et onirique, qui dit la rencontre de la Chine et de l'Afrique à travers une histoire d'amour entre un Chinois et une Ivoirienne. C'est l'histoire d'Aya, incarnée par l'actrice Nina Mélo, qui crève littéralement l'écran.
Senego - Black Tea, le dernier chef-d’œuvre d’Abderrahmane Sissako, entre en compétition pour l’édition 2024 de la Berlinale. Il s’agit d’une coproduction franco-luxembourgeoise-mauritanienne qui raconte le parcours audacieux d’Aya, une Ivoirienne qui brave les normes en refusant le mariage pour se réinventer en Chine. Là-bas, elle travaille dans l’univers du thé et croise la route de Cai, qui partagera son quotidien. Le film plonge dans les réalités de l’immigration, de l’amour et du deuil, tout en abordant des questions profondes d’identité et de différences culturelles. Révélateur des talents africains, la Berlinale mettra aussi en lumière d’autres œuvres du continent telles que ‘Dahomey’ de Mati Diop et "Who Do I Belong To" de Meryam Joobeur, lauréate à Tanger en 2019.
Initiatives News - Natif de Boghé, dans le sud de la Mauritanie, Djibril Diaw, cinéaste passionné, a découvert sa passion pour le septième art à Nouakchott. Malgré des études en informatique et gestion à l’Université Gaston Berger de Saint Louis au Sénégal, sa véritable vocation s’est ancrée dans le domaine cinématographique. Grâce à Abderrahmane Ahmed Salem, pionnier cinéaste réalisateur, il a intégré la maison des cinéastes de Mauritanie. Son parcours a débuté en 2009 avec la réalisation de son premier documentaire « 1989 », plongeant ainsi dans la documentation d’une période sombre de l’histoire mauritanienne. En tant qu’assistant réalisateur sur deux documentaires d’Ousmane Diagana tournés en Mauritanie, il a également contribué au cinéma local. En 2013, son documentaire « Retour sans cimetière », faisant partie de la collection Lumière d’Afrique, l’a contraint à s’exiler en France pendant quelques années en raison de sa sensibilité.
RFI Afrique - La première édition du Festival International du Film de Nouakchott présidé par le célèbre réalisateur international mauritanien Abderrahman Lahi s'est tenu du 15 octobre au 17 octobre dans la capitale mauritanienne. Un évènement culturel plutôt rare dans la capitale. Au programme : 28 longs et courts métrages de réalisateurs venus d’une douzaine de pays dont celui d’un jeune réalisateur mauritanien prometteur : Abdoulaye Sall. La soirée a débuté à Nouakchott par la projection du court métrage jeune réalisateur mauritaniens, d’Abdoulaye Sall, accueilli par les applaudissements du public.